1. Ursula, coach très perso (1)


    Datte: 25/11/2017, Catégories: fh, ffh, fplusag, frousses, médical, complexe, bizarre, amour, revede, Oral pénétratio, init, journal, humour,

    ... position et à ma place, auraient passé outre les ordres stricts, se seraient démenés comme des beaux diables pour entamer une chevauchée plus fantastique encore. Non, moi, surpris par le spectacle, j’ai eu la réaction inverse, tant redoutée. J’ai débandé ! Et voilà, tout était à refaire. Mais si l’accablement me saisit, c’était sans compter sur Ursula et sur Marie-Gabrielle. Sur une douce parole encourageante de la part d’Ursula, me voila de nouveau embouché par Marie-Gabrielle qui s’évertue, une fois encore, à redresser la situation. Une fois de plus, on m’enjoint de fermer les yeux et surtout de ne pas les ouvrir au beau milieu de cette nouvelle tentative. Une nouvelle fois, mon sexe, étonnamment, se redresse, rebande. Une fois encore, je perçois le plaisir qui envahit mon être et atteint des sommets de volupté à la pointe de mon sexe. Une main ferme maintient la base de ma verge. Je n’ose ouvrir les yeux pour identifier la main. Je me laisse faire. Je laisse faire le plaisir. Et voilà ! Je suis enfin récompensé. Avec de longs traits de plaisir, je jouis. Où ? Pour l’instant, je n’ose ouvrir l’œil, ni même l’entrouvrir, de peur que ma jouissance ne s’interrompe. C’est une forme de fontaine chaude et très humide dans laquelle je me trouve. Du fond de ce plaisir, j’ai entendu les râles de jouissance, ceux de Marie-Gabrielle. Distinctement. Alors, dès que cela m’est autorisé, j’ouvre les yeux. Marie-Gabrielle me chevauche et démène sa croupe au-dessus de moi. Je viens de ...
    ... jouir en elle. Ursula nous contemple. Un sourire satisfait au coin des lèvres. Elle nous couve du regard. Bat des mains comme une enfant, heureuse de l’exploit qu’elle vient d’accomplir, reconnaissant que ce n’était pas du tout gagné d’avance et que ce n’est pas encore gagné. Nous voilà avertis. Avant de partir, Ursula se penche vers moi et me murmure à l’oreille de ne pas tenter d’aimer Marie-Gabrielle tout seul, pour l’instant, mais que la jeune femme a bien mérité quelques longues et voluptueuses caresses. Mais que la prochaine fois cela devrait aller un peu mieux. Alors, je rejoins ma douce et tendre amie, qui m’attend avec impatience sur le lit. Du seuil de la porte je la contemple, je l’admire. Puis, je m’allonge à ses côtés et, en guise de remerciements pour son abnégation, pour son dévouement, je commence à lui caresser les seins. Sous ma main, j’empaume les tétons, larges et pointus, les fait rouler entre mes doigts, tire dessus doucement, tandis que mon autre main s’aventure vers son intimité, mouillée de nos plaisirs. Là, je vais gratter le clitoris qui commençait à revenir à sa taille de repos pour lui faire redresser la tête et l’agacer, l’exciter, le titiller pour qu’il procure du plaisir à ma douce Marie-Gabrielle. Puis mes doigts abandonnent les seins et vont fourrager le plus loin possible dans son sexe gluant de plaisir. Malgré un gonflement des muscles, j’arrive à aller exciter le fameux point G et me concentre sur cette petite zone de chair pour déclencher de ...