Le cul de Suzon
Datte: 26/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
fdanus,
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Je l’avoue sans honte, je suis fessomane, popotinophage, séantopathe, pétardorateur, fondementaliste, croupionophile et fionomanique. En un mot comme en cent, je vénère le cul ! Celui des femmes bien entendu ! Pas le cul poilu et incomplet des hommes, qui ne débouche sur rien d’autre que sur une disgracieuse paire de couilles, surmontée d’un non moins repoussant goupillon. Non, ce que j’aime par-dessus tout, c’est le cul de ces dames, cette lune riante et rayonnante qui me transforme en explorateur et m’invite invariablement à me prendre pour Jules Verne ou Hergé, partant à la découverte de ces terres lunaires, glissant dans le canyon profond qui les sépare, débouchant tantôt sur la jungle d’une toison pubienne, tantôt sur la rondeur glabre d’un petit con joufflu entre lequel je peux enfin m’enfoncer à loisir. Car en dehors de sa beauté rieuse – ne parle-t-on pas d’un « posté-rieur » –, le cul féminin est une porte, un chemin initiatique vers le paradis. Dès que mes pas s’inscrivent dans ceux d’une adorable inconnue, mes yeux sont comme aspirés par cette rondeur fascinante qui m’invite à la suivre, en me lançant des « clins-de-fesses » à chaque pas de la belle. Je suis sûr que, comme moi, vous avez remarqué ce balancement sensuel et naturel qu’aucun cul masculin ne saura jamais égaler. Un balancement aussi éblouissant que celui du pendule d’un hypnotiseur, capable de me faire oublier ma destination et m’aimanter, aussi irrésistiblement que le pôle magnétique attirant ...
... l’aiguille d’une boussole. Il m’est ainsi arrivé de faire des kilomètres à la poursuite d’un cul particulièrement captivant, de prendre le métro, le bus, le RER, sans quitter du regard les deux sphères magiques, avant de les voir disparaître à mon plus grand désespoir, tantôt dans un taxi, tantôt derrière une porte d’immeuble, me laissant comme un somnambule sortant de son rêve éveillé à plusieurs kilomètres de chez lui. C’est ainsi que j’ai rencontré Suzon. Elle se tenait à l’arrêt du bus juste devant la terrasse où je prenais un café. Elle portait une petite robe d’été, serrée à la taille, qui mettait en évidence la courbe sensuelle de ses hanches et la rondeur affolante de sa croupe. Elle me tournait le dos, visiblement absorbée par la lecture de son roman, me laissant m’enivrer de son superbe derrière et de cette paire de fesses dont je pouvais presque percevoir la chaleur, tandis que mes yeux remontaient le long de ses cuisses dénudées. Des cuisses fermes, un peu rondes, juste comme il faut. Pour qu’un cul acquière toute sa splendeur, il faut qu’il soit monté sur une belle paire de cuisses, s’arrondissant harmonieusement tandis qu’elles s’élèvent vers le paradis. J’ai tout juste eu le temps de laisser un billet de cinq euros sur la table en faisant signe au serveur, avant de me précipiter dans le bus où elle venait de disparaître. Toutes les places assises étaient occupées. Je me tenais à la main courante à moins d’un mètre de cette inconnue qui m’avait marabouté par le seul ...