Le cul de Suzon
Datte: 26/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
fdanus,
fsodo,
aliments,
portrait,
attirautr,
... qui parlaient pour elle, avant d’avaler d’un trait son verre de vin blanc. Bien sûr que cela l’excitait, toute comme l’excitait la perspective de me l’avouer. — … Oui.— J’aimerais que vous m’en lisiez un chapitre, cela ne vous dérange pas ?— … ? Ici ?— Pourquoi pas, vous avez une autre idée ?— C’est-à-dire que… j’habite à deux pas, si vous voulez…— J’en serais honoré. C’est ainsi que je me suis laissé conduire vers son appartement, la laissant marcher juste devant moi pour contempler le va-et-vient de sa robe provoqué par l’harmonieux balancement de sa croupe. Je l’ai suivie dans l’escalier étroit menant à son appartement, au quatrième étage d’un immeuble cossu, m’enivrant du ballet de ses cuisses s’élevant devant moi, jusqu’à me laisser percevoir, l’espace d’une seconde, la blancheur éclatante d’une large culotte de coton blanc. J’ai fini par détourner le regard, craignant que mon excitation grandissante ne finisse par venir à bout de ma résistance. Ce cul était à moi, j’allais le posséder et cette idée me raidissait dangereusement la queue. Son appartement était un petit trois-pièces et je me suis installé dans le fauteuil du salon, tandis qu’elle débouchait la sœur de la bouteille de blanc que j’avais achetée au bistrot avant de partir. L’appartement était plutôt coquet, incontestablement féminin, décoré de photos de vacances. Une bibliothèque bien garnie et une discothèque plutôt variée m’ont éclairé sur les goûts de la belle qui est venue s’asseoir sur le divan, posant ...
... la bouteille et deux verres sur la table basse qui nous séparait. Elle a rempli nos verres dans un silence un peu embarrassé que je n’ai pas osé rompre. — À notre santé ?— À notre santé ! Nouveau silence. Elle gardait ses genoux serrés l’un contre l’autre, et je pouvais percevoir son inquiétude et son embarras dans l’ample mouvement de ses seins à chacune de ses respirations. En réalité, j’étais presque aussi inquiet et embarrassé qu’elle, et je me contenais de lui sourire, de ce sourire benêt qui me venait à chaque fois que je pensais à son cul. Je ne voulais pas le perdre, le laisser m’échapper alors que je le tenais à portée de la main. Alors, je me suis tu, attendant qu’elle se décide à se lancer à l’eau. Elle a choisi de retarder le moment en proposant de mettre un peu de musique. Ça m’a permis de lui mater le cul en toute liberté tandis qu’elle se penchait sur la colonne de CD à la recherche d’une ambiance adéquate. J’ai avancé ma main vers le divin derrière, l’arrêtant à quelques centimètres de la croupe dressée pour en dessiner le contour et, sans jamais effleurer sa robe, sentir sa chaleur sous mes doigts. Elle a fini par choisir un album de musique malienne, un blues africain, chaud et sensuel à souhait. — Alors vous voulez vraiment que je vous lise un chapitre deLa Pharmacienne ?— Rien ne me ferait plus plaisir, sauf peut-être si vous acceptiez de me le lire en me tournant le dos.— Vous voulez que je vous tourne le dos ?— Oui. J’aimerais que vous vous agenouilliez ...