Le cul de Suzon
Datte: 26/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
fdanus,
fsodo,
aliments,
portrait,
attirautr,
... pouvoir de ses fesses. Pour la première fois, je pouvais distinguer son visage, de profil car elle était encore plongée dans la lecture de son roman. Elle portait des lunettes, devait avoir une trentaine d’années. Des boucles rousses retombaient sur ses épaules, encadrant une paire de seins parfaitement raccord avec son généreux fessier. Je n’y peux rien, mais lorsque je regarde le décolleté d’une femme, je ne peux pas m’empêcher de penser au sillon profond qui sépare ses fesses, et qui, contrairement à celui des seins, mène à d’extraordinaires trésors. Les rondeurs de leurs attributs mammaires ne sont là que pour me rappeler l’astre rayonnant qu’elles abritent sous leurs jupes et qui me capture invariablement dans son orbite comme un misérable objet céleste attiré par le soleil. Elle a fini par se retourner vers moi, prenant conscience de ce regard que je laissais courir sur elle depuis de longues secondes. Je lui ai souri le plus naturellement du monde, de ce sourire béat et un peu stupide que l’on a dans les moments d’extase. Elle a haussé les épaules en faisant une grimace un peu méprisante, et elle m’a tourné le dos sans même réaliser qu’elle m’offrait le plus beau des cadeaux. J’aurais pu le toucher, si j’avais seulement avancé la main de quelques centimètres. Mais je me suis contenté de le regarder, se dressant fièrement sous le rideau fleuri de la robe. Un homme était assis juste à côté d’elle, plongé dans la lecture de son journal. Et j’aurais voulu l’arracher de sa ...
... place pour pouvoir m’y installer, le visage à quelques centimètres de ses cuisses, pour m’enivrer de leur odeur et laisser mon regard se glisser sous les plis de sa robe agitée par les secousses du bus. Lorsqu’elle a appuyé sur la sonnette pour demander l’arrêt, elle m’a regardé une nouvelle fois et, une nouvelle fois, je n’ai pu lui retourner que mon sourire de ravi de la crèche. Elle allait descendre et je n’allais pas pouvoir m’empêcher de la suivre. Elle me remarquerait tout de suite. Hésiterait, après s’être retournée une ou deux fois pour m’évaluer. Avant de s’arrêter et me faire face. — Si vous n’arrêtez pas immédiatement de me suivre, j’appelle la police, c’est compris ?— Excusez-moi, Mademoiselle, mais dans le bus j’ai cru remarquer que vous lisiezLa Pharmacienne d’Esparbec et je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai eu soudain envie de vous parler. J’ai vu avec soulagement son visage de rousse s’empourprer et j’ai béni l’ouvrage du pornocrate de m’avoir donné une occasion rêvée pour l’aborder. Je ne pense pas qu’elle aurait aussi bien réagi si je lui avais annoncé tout de go ne pouvoir résister au pouvoir magnétique de son cul. — Ne soyez pas gênée surtout. Je trouve cela formidable que des jeunes femmes lisent ce genre de récits. Même si Esparbec se complaît parfois dans l’excès, il a une façon tellement décomplexée de présenter les choses du sexe que même les pires horreurs arrivent à nous émoustiller.— Je… on me l’a prêté. C’est la première fois que je lis un ouvrage ...