Le cul de Suzon
Datte: 26/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
fdanus,
fsodo,
aliments,
portrait,
attirautr,
... comme deux amants après avoir fait l’amour, sauf que, pour ce qui me concerne, j’avais encore mon barillet chargé. — Je n’ai jamais rencontré un homme comme vous auparavant.— Et vous en avez rencontré beaucoup sans doute…— Pas tant que ça en fait, mais les hommes d’aujourd’hui ne savent plus prendre le temps. Vous, c’est différent. On dirait que vous jouissez par la contemplation.— Jouir peut-être pas, encore que ça m’est arrivé au début, mais c’est vrai que ma jouissance est d’autant plus intense quand j’ai pu auparavant admirer et découvrir avec passion le cul de ma partenaire. Et quand le cul est du calibre du vôtre, je ne vous dis pas le pied.— Je vois ça ! Sa main avait saisi mon sexe et c’est vrai qu’il était plutôt en forme. Après l’avoir caressé quelques secondes, elle s’est redressée pour venir s’accroupir à mes côtés, orientant son derrière dressé en direction de mon visage, avant de poser ses lèvres gourmandes sur ma queue qu’elle tenait dans ses mains. Fellation divine que celle qui vous laisse promener vos mains et votre regard sur un cul admirable, balançant au rythme du va-et-vient de la bouche gourmande sur votre bite. Je dois dire que je préfère mille fois cette position à celle du 69 qui vous coince la tête entre les cuisses, vous empêchant de distinguer l’astre radieux, vous obligeant à tendre le cou pour approcher ce con qui s’échappe à chaque fois que votre partenaire se penche sur votre queue. Non, il n’y a pas de comparaison, et si j’apprécie ...
... énormément une séance de broute minette, il faut que je sois au-dessus de ma partenaire et aux commandes de l’avion. Tandis que là, je pouvais m’abandonner à cette bouche qui me dévorait la bite tout en profitant pleinement de ce cul offert que je ne me privais pas de visiter avec vénération. J’ai fini par la repousser, sentant que j’approchais dangereusement du point de non-retour. Je l’ai allongée sur le dos, lui écartant largement les cuisses pour pouvoir admirer, pour la première fois en fait, les merveilleuses dentelles irisées de sa chatte. — Parlez-moi de mon con ? L’aimez-vous moins que mon cul ?— Comment pouvez-vous dire une chose pareille, le con et le cul ne sont rien l’un sans l’autre. Sans le second, le premier ne serait qu’une citadelle sans défense et sans charme, tandis que sans le premier le second ne serait qu’une petite porte triste, orpheline du palais qu’elle est censée protéger. Le con est en quelque sorte l’apothéose du cul.— Décrivez-le-moi. Elle a fermé les yeux tandis que je lui décrivais les contours de son con, accompagnant du doigt mes observations anatomiques. — Votre con est timide comme le trou de votre joli cul, c’est pour ça qu’il se cache derrière cette toison rousse, visiblement taillée de frais. Pas trop pourtant, pour conserver un voile pudique sur sa fente brillante, mais quand même assez pour révéler la coquetterie de sa maîtresse. Et lorsqu’on écarte le rideau des poils humides et entremêlés, on découvre les grandes lèvres rondes, juteuses, ...