1. Le cul de Suzon


    Datte: 26/11/2017, Catégories: fh, hplusag, frousses, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral fdanus, fsodo, aliments, portrait, attirautr,

    ... sur le divan en appuyant vos coudes sur le dossier. L’espace d’un instant elle a dû me prendre pour un fou et j’ai vu un éclair d’angoisse passer dans ses yeux. Continuer ou arrêter ? Elle devait choisir, en une fraction de seconde, et je crois qu’une nouvelle fois, mon sourire béat a dû la rassurer. Elle a éclaté de rire en me traitant de fou et en se considérant encore plus folle de ne pas me mettre dehors sur le champ. Mais elle a fini par se lever, et, après avoir pris le roman dans son sac, elle a pris la position demandée, m’offrant son cul dressé en majesté, à moins d’un mètre de mon visage. — Monsieur a un chapitre préféré ?— Non. Lisez donc à partir de l’endroit où vous vous êtes arrêtée tout à l’heure. Alors, elle s’est mise à lire à haute voix, d’une voix chaude et douce qui hésitait et trébuchait sur les chapelets de mots crus enfilés par l’auteur. Elle cambrait les reins plus que nécessaire comme si elle voulait offrir son cul à mon adoration. Tandis qu’elle avançait dans son récit, qui narrait les ébats de Beau-P et de Laura, son cul s’est mis à s’agiter, discrètement d’abord, plus visiblement ensuite, comme si une colonie de fourmis avait soudain élu domicile dans sa large culotte. — Serait-ce trop demander que de vous inviter à remonter votre robe sur vos reins ? Je vous donne ma parole que je ne quitterai pas mon fauteuil. Elle s’est arrêtée durant cinq longues secondes et je crois que mon cœur s’est arrêté de battre en même temps. Je ne pouvais pas voir son ...
    ... visage et elle ne pouvait pas voir le mien, défait et angoissé à l’idée d’avoir été trop vite, trop loin. Mais, lorsqu’elle a posé le livre sur le dossier du divan, et que, sans se retourner ni prononcer un mot, elle a lentement remonté sa robe au-dessus de ses cuisses, puis de ses fesses emballées dans le slip de coton blanc, pour finir par la poser sur son dos, mon visage a aussitôt repris sa béatitude mystique. J’aurais pu rester des heures à contempler le spectacle éblouissant de cet extraordinaire derrière, moulé dans un écrin blanc et posé sur une paire de cuisses musclées et bien en chair. Je pouvais deviner la ligne sombre de la raie de son cul qui se dessinait en transparence sous le coton et cette tâche sombre et humide qui se dessinait en-dessous du triangle blanc, tandis qu’elle me racontait les turpides de l’ignoble Beau-P. À la manière dont elle agitait son derrière, il est clair que le con de Suzon s’enflammait de plus belle, sous l’effet du récit qu’elle continuait à égrainer d’une voix de moins en moins assurée, mais aussi de l’exhibition à laquelle elle s’offrait, sans doute pour la première fois de sa vie. Je me suis penché par-dessus la table basse pour saisir délicatement l’élastique de la culotte du bout des doigts, et la faire descendre avec une infinie lenteur, le ventre noué à l’idée que je pourrais rompre le charme. Mais la surprise passée, Suzon a continué à lire son roman avec encore davantage de chaleur dans la voix, comme si elle vivait dans sa ...
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