1. Le peintre et son modèle


    Datte: 30/11/2017, Catégories: fh, amour, ffh, fffh, fplusag, prost, Masturbation historique,

    ... coucheries avec son modèle. D’autres peintres en sont peut-être capable, mais pas elle. D’autant qu’elle a l’intuition qu’elle est en train de produire son œuvre majeure, un travail qu’on produit seulement une fois dans une vie d’artiste, et ceci grâce à ce jeune homme si beau qui respire la vie et la liberté. Après l’éjaculation, le torchon est complètement imbibé.« Cet homme est d’une virilité extraordinaire…, pense-t-elle.Il a de superbes érections, et son aptitude à les conserver longtemps est stupéfiante. Un étalon humain, une âme innocente associée à un regard limpide, tout cela dans un corps sublime. Quel plaisir ce serait de le laisser entrer en moi… » En attendant, quel spectacle émoustillant ! Il faudra de la volonté pour résister à ses avances. Ces pensées humidifient son entrejambe. Elle profite d’un court temps de solitude pour se soulager avec sa main. Elle le fait rapidement, contrairement à son habitude. Il ne faut pas qu’il sache à quel point elle est troublée, charmée, envoûtée. Il ne doit pas non plus savoir qu’elle aussi se caresse. Et aussi qu’elle boit, toute seule, discrètement, prélevant le vin blanc du fût de sa cave. Elle en a besoin pour maintenir sa créativité. L’image de ce garçon reste imprimée dans son esprit. Il est beau comme un dieu, non pas comme un dieu d’aujourd’hui dont les grands prêtres assimilent sexe et péché, mais comme Pan, avec ses sabots et sa flûte, séduisant sans honte nymphes, dryades et jeunes filles humaines. Celui dont ...
    ... les curés ont proclamé la mort, comme si un dieu pouvait perdre son immortalité. C’est lui qui permet l’éternelle renaissance d’un printemps où les joies du corps ont pleinement leur place. Pour Jules, la présence bienveillante d’une femme près de lui, pendant qu’il se livre à l’onanisme, est une source d’excitation intense. C’est une étrange complicité, une émotion érotique qui augmente son plaisir. À partir de la troisième fois, elle accepte de lui tenir la main, seulement la main, celle que l’action masturbatoire laisse libre, mais pour lui c’est déjà beaucoup. Il croise son regard de tendresse, cela l’inspire et il sent le plaisir monter plus vite et plus haut que lorsqu’il est seul. Lorsqu’accidentellement il répand du sperme sur le sol de l’atelier, les yeux de Sophie se font courroucés, et penaud il nettoie sa semence. Mais lorsqu’ensuite il s’absente pour aller aux toilettes, elle porte à son nez le chiffon à la délicieuse odeur de stupre et s’enivre de cette senteur mâle qui affole ses sens, l’appelle à la concupiscence et lui donne du cœur à l’ouvrage. Pendant les pauses, au crayon de bois, elle dessine Jules en train de se donner du plaisir et lui montre ces dessins. Ce sont des croquis qui seraient considérés comme obscènes par la police des mœurs si celle-ci venait à effectuer une descente dans l’atelier afin de vérifier que la morale est respectée. Cela arrive. Il ne faut surtout pas que les agents des forces de l’ordre saisissent ces papiers compromettants. ...
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