1. St Valentin


    Datte: 01/12/2017, Catégories: Mature,

    ... billot j'attendais mon bourreau. Il mit du temps à se changer et se délester de ses bottes. J'examinais dans le rétro mon maquillage et tirais sur une jupe sûrement indécente. De toute façon il était trop tard pour fuir. Il demanda une clope et flegmatiquement me questionna sur le bouquin.J'inventais. Je ne l'avais pas vraiment lu. J’avais fumé et écouté des conneries à la radio. J’avais envie de choses. Il posa sur moi un regard lourd. Je ne sais comment nos bouches se collèrent. J'étais en deçà de ce que j’avais pressenti. L'homme dégageait une puissance énorme. J'étais subjuguée et soumise déjà. Avec mon mari cela n'avait jamais été terrible. Seul un amant m’avait procuré comparable chavirement. Depuis un temps le sexe m'était devenu une chose importante.Les humiliations m’avaient libéré. Je n'avais plus rien de l'oie blanche ou de la nana fière toisant les autres. Mon corps se vengeait réclamant leur du. La digue cédant, une lubricité troublante déferlait. Je ne fus pas peu surprise de mon geste avide d'ouvrir la braguette et de lui extirper sa queue. Lui-même marqua de la surprise. Je le suçais comme une mort de ...
    ... faim. Il avait une queue rêvée. Rien de comparable avec celle d'un mari. Sur la banquette il me baisa et me fit jouir comme jamais.Ça y est nous étions amants. Éric eût le triomphe modeste. Il me dit que j'étais une superbe pouliche. Que depuis longtemps il me convoitait. Il m'assura qu'il ne se consacrerait qu'à moi. Je trouvais amusant que Don Juan tint un discours de vertu et de fidélité. L'un l'autre nous n'avions de cesse de recommencer. La nuit fut insupportable. J'eus volontiers fait le mur pour rejoindre mon amant. Je revins à la rivière. Au cours du trajet nous nous épuisâmes en baisers. Je pris fantaisie de le sucer.HmmJe me sentais profondément garce et salope. Tandis qu’Éric péchait je retirais souvent ma culotte. Je lisais et me caressais. J'attendais avec impatience la queue. Peu après qu'il revint nous nous jetâmes dans le sexe. Il y avait des promeneurs et des voyeurs. Nous n'en avions cure. J'avouais que cela m’excitait. Peu importe qu'ils eussent vu mon cul. J'étais étonnée dans ces moments du chemin parcouru. Il me fallait garder secret ma métamorphose. Aussi fus-je enjouée avec mon mari à la St Valentin. 
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