1. Théâtre


    Datte: 01/12/2017, Catégories: ff, ffh, fbi, cocus, Masturbation

    Ma femme et moi aimons le théâtre : j’ai longtemps fait partie d’une troupe dans ma jeunesse et bon an mal an, nous nous abonnons pour une saison ici ou là en fonction des programmations. Nous avons même, une année, intégré ensemble un atelier et joué sur scène. Aussi quand Maud, une amie qui travaille au théâtre de notre petite ville de province nous a proposé deux places pour un spectacle dont elle vantait les mérites, nous lui avons fait confiance et réservé notre soirée. Mon épouse Anne, grande brune aux cheveux longs, la belle quarantaine avec juste quelques kilos en trop sur le popotin, s’est habillée avec goût, comme à son habitude. Moi, j’ai terminé le travail, disons… un peu tard par rapport à un horaire idéal, j’ai juste eu le temps de la récupérer et nous filons. Il faut dire que le théâtre – à l’italienne, délicieusement rétro – possède un petit bar cosy, où il est possible de manger sur le pouce avant ou après les représentations. C’est là que nous retrouvons Maud, petite blonde toute fine mais avec toutes les bonnes rondeurs où il faut, pour un en-cas et quelques verres de blanc, qui ont le mérite de mettre de la couleur aux joues et des éclats dans les yeux de mon épouse, très sensible à l’alcool. Le service de Maud ne nous permet de profiter de sa présence qu’en pointillés… Le temps passe vite cependant et c’est dans les derniers que nous rejoignons nos places, heureusement numérotées et avantageusement disposées au second rang, au pied de la scène : merci ...
    ... Maud ! La représentation commence rapidement. — Regarde-la celle-là, faut pas qu’elle éternue… Effectivement, la jeune comédienne porte une sorte de robe légère croisée sur le devant, qui semble trop petite pour son opulente poitrine, et dont on pourrait imaginer qu’elle puisse s’échapper au gré d’un mouvement trop brusque. En plus elle pousse de temps en temps la chansonnette, ce qui l’amène vraiment au bord de la scène : façon chanteuse de film noir américain des années cinquante, ce qui accentue encore son côté vamp ! — Faut décidément pas qu’elle éternue… Mon épouse radote ! Bon, c’est vrai que grâce à la mise en scène assez dynamique, on commence à apercevoir les aréoles, un petit effort et c’est le téton qui sera visible. — Encore un peu et tout va s’échapper ! J’ai une vision des deux globes blancs jaillissant soudain en pleine lumière devant l’ensemble de l’auditoire médusé, et l’idée me met en semi-érection. J’ai du coup du mal à me concentrer sur le déroulé de l’action, et ma femme aussi d’ailleurs puisqu’elle multiplie tout bas les remarques sur les seins de la comédienne… Je finirai la représentation une main entre ses cuisses – pas trop haut quand même, ce n’est pas le genre de la maison – et pas trop fort, pour pas filer ses collants ! Et une érection presque établie… Au passage, l’actrice nous aura gratifiés d’un sein quasi complètement sorti, avant de rectifier sa tenue à l’occasion d’un changement de scène. Quand nous nous levons, heureusement dans les derniers ...
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