Théâtre
Datte: 01/12/2017,
Catégories:
ff,
ffh,
fbi,
cocus,
Masturbation
... au prix d’une manœuvre un peu acrobatique, je me retrouve allongé entre elles. Sans se concerter, mais d’un commun accord, elles se serrent contre moi : j’ai Anne derrière et Julia face à moi. Mon épouse me couvre le dos de petits baisers, alors qu’elle m’agace la raie de sa main, Julia attrape les épaules de ma femme et propulse son pubis à la rencontre de mon sexe, tout en m’embrassant langoureusement, je sens ses seins contre mon torse, et merveille de la physiologie humaine, mon sexe se déploie pour être au rendez-vous de cet instant magique que même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais imaginé vivre. Alors que ma verge a retrouvé toute son amplitude, Anne s’en saisit et la guide vers le vagin de la jeune femme, celle-ci se positionne pour aider à la pénétration. Sa grotte est accueillante, idéalement étroite, bouillante des agaceries lesbiennes qui ont précédé. Nous ondulons tous les trois sur un rythme lent, Anne m’insinue délicatement un doigt humide dans l’anus, je m’enfonce plus profondément en Julia, gémissante. Ma queue me chauffe un peu, mais sur l’instant, je n’en ai rien à faire, je hausse le rythme et Julia part dans un orgasme foudroyant que je n’ai pas senti venir, je fais ...
... encore quelques va-et-vient avant qu’Anne ne m’attire vers elle, réclamant sa part de plaisir : elle s’enfile sur ma verge et se baise comme si j’étais un sextoy. Julia s’appuie de tout son poids dans mon dos, comme assoupie, et ses tétons frôlent mes épaules au gré des ruades de ma femme, me donnant la chair de poule. Je pars dans une éjaculation brûlante qui déclenche une jouissance bruyante pour mon épouse. Encore quelques coups de bassin, et tout s’arrête… Nous sommes nus tous les quatre, nous grignotons du bout des dents autour d’une bonne bouteille, quasi pas de paroles échangées depuis l’arrêt de notre frénésie sexuelle, mais de tendres sourires, Julia et Anne s’effleurent les doigts et là je n’en suis pas jaloux. Sous la table, Maud me caresse l’intérieur des cuisses, mais ma queue ne réagit plus, et je n’ai pas le courage de lui rendre la politesse. Enfin, nous sentons qu’il est temps, un peu d’exploration à la recherche des vêtements, et nous nous quittons en échangeant – tous – de longs baisers humides… Plus tard, Anne dans la voiture : — C’est moi qui ai commencé, alors je ne te dirai rien, mais sache que je crève de jalousie.— Moi aussi ma puce, moi aussi. Mais ça je ne l’ai pas dit !