Hamburgers, orgasmes & E.T.
Datte: 01/12/2017,
Catégories:
2couples,
copains,
Oral
69,
pénétratio,
double,
sf,
... dans un… FLASH ! J’étais toujours enfoncé en elle, mais… je voyais sa chair, ses os, je sentais la chaleur de son sang. Cela recommençait !!! Ahuri, je contemplai ses organes, sous sa peau, je voyais ses poumons, son cœur qui battait, le sang qui coulait dans ses veines. Et lorsque je relevai mon regard vers son crâne, je sentis mes jambes défaillir. Son cerveau était « enveloppé » d’une chose rose et visqueuse, une espèce de masse de chair qui pulsait légèrement. — Non… gémis-je. Mais qu’est-ce que c’était que ça ? C’était vivant ! Je tournai la tête pour prévenir mon ami que cela avait recommencé, mais… Il n’était plus là. Je n’étais plus dans son salon, mais au beau milieu d’une rue déserte. Les maisons étaient toutes détruites, à certaines il manquait le toit, comme si elles avaient été soufflées. — Max ? Je reculai vivement, surpris de me trouver habillé. La brune n’était plus là non plus. Une forte bourrasque de vent me fit presque trébucher. Partout autour de moi, des gravats, des carcasses calcinées de vaisseaux, et des corps. Des centaines de corps mutilés jonchaient le sol. Le ciel était rouge. Rouge sang. — Max ! Personne. Pas âme qui vive. Où que je fus, j’étais seul. Je fis un tour sur moi-même. Mes yeux ne rencontraient que la désolation. J’étais visiblement dans un ancien quartier résidentiel. Mais où ? Quand ? Devant moi, une maison à moitié détruite, au toit soufflé et aux fenêtres pulvérisées. Le jardin était envahi de mauvaises herbes. Il y avait un corps ...
... devant la porte d’entrée. Homme, femme ? Je n’aurais su le dire, vu qu’il manquait la tête. — Mais où suis-je ? hurlai-je à la ronde. Et comment allais-je retourner dans… la réalité ? Non, j’y étais dans la réalité ! Je sentais bien les graviers sous mes chaussures, le vent qui me donnait du mal à rester debout. Et l’odeur du sang, de la chair morte et calcinée. Une sorte de vrombissement étouffé me fit lever la tête. Et pousser un cri. Un vaisseau énorme, dix ou douze fois plus imposant que les vaisseaux cargos, passait dans le ciel, très lentement, rasant presque le toit des immeubles détruits, au loin. Il passait en silence. Entièrement noir. — Mais… Je n’eus pas le temps de finir. Quelque chose me heurta le crâne. Une vive douleur se répandit en moi, mais fut aussitôt dissipée par les ténèbres de l’inconscience. *** Une voix dans la brume. L’humidité. Je la sentais qui s’infiltrait à travers mes habits. J’essayai d’ouvrir les yeux, mais une forte douleur au crâne m’en empêchait. — Rév… Une voix dans mes oreilles. J’essayai de bouger, mais n’y parvins pas. Où étais-je ? Et où était Max ? Tout me sauta soudain à la figure. Je bondis lorsque la mémoire me revint. Enfin, pas vraiment. Mes mains attachées dans mon dos m’en empêchèrent. J’étais ficelé à une chaise. Encore sonné, je regardai autour de moi, ne comprenant pas ce que je voyais. La pièce dans laquelle je me trouvais était sombre, et humide ! Si humide ! De la mousse sur les murs. L’eau qui goutte du plafond -plic ...