Concours de circonstances
Datte: 02/12/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voyage,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
portrait,
Je balayais la fine couche de flocons de mon trottoir pour éviter qu’ils ne gèlent et ne transforment en patinoire le passage piétonnier. On était mi-février, le froid était vif et le vent d’Est glacial en ce samedi matin, dans la région Nord. Je venais d’avoir une prise de bec avec mon épouse : elle voulait que je l’aide à faire le ménage dans la chambre d’ami. J’avais l’habitude de laver la maison toutes les semaines, je m’occupais aussi du jardin et des bricolages, je faisais la bouffe le dimanche ; ma contribution à la vie communautaire était suffisante. D’autant que j’avais fendu des bûches et scié des rondins, tôt ce matin, pour accueillir avec un feu de bois des invités dont je n’avais rien à faire ! Ma chère épouse, sans me demander mon avis, avait proposé à sa copine de l’aquagym, qui fêtait ses trente ans de mariage, d’héberger un couple de cousins du Havre, qui était invité à la fête. Bref la galère pour moi ; d’autant que l’hospitalité nordiste était en jeu. Le portail des voisins d’en face s’ouvrit. Les deux petites filles se rendaient en classe. Anne, leur jeune maman, emmitouflée dans une parka courte qui laissait passer une chemise de nuit rose, rappela à l’ordre ses enfants pour qu’ils me disent bonjour. La maman était mince et jolie quand, jeune mariée, elle avait acheté la vieille maison que le couple retapa une dizaine d’années. À présent, son visage était encore mignon mais, certainement à cause d’un problème hormonal, elle avait pris du poids. Anne, ...
... qui n’arrêtait pas de s’engueuler avec son mari, montrait depuis un an, ouvertement, un intérêt certain pour ma modeste personne. Certes j’avais quinze ans de plus qu’elle, mais elle me trouvait gentil et pas imbu de ma personne, pour un ingénieur - titre prestigieux pour elle, mais bien frelaté pour moi qui ne sortait que d’une modeste école d’électronique de province ! De part et d’autre de la rue, Anne et moi discutions de la non fiabilité des prévisions météo, quand le minuscule roquet hargneux, adopté par les filles, se pointa et aboya méchamment à mon encontre. Anne s’accroupit immédiatement pour le gronder en le saisissant par la peau du cou. Elle avait juste oublié que dans cette position, elle exposait ses cuisses imposantes à mon regard. Anne fut presque entraînée par le fauve rebelle qui voulait s’échapper. Surprise, elle écarta les jambes pour stabiliser son assise. Anne ne portait pas de petite culotte sous sa chemise de nuit. Je matais distinctement son petit minou dans son intégralité : dépourvues de toute trace de pilosité, deux boursouflures encerclaient une courte fente sombre. C’est ce moment-là que mon épouse choisit pour m’interpeller de la cuisine, afin de l’aider à faire le lit de ses invités. Certes, je n’avais jamais trompé mon épouse, mais j’avais failli quand même oser traverser la rue, pour faire plus ample connaissance avec ma voisine, ce jour-là. Notre couple, après trente ans de vie commune, traversait des moments de plus en plus difficiles. Mon ...