Concours de circonstances
Datte: 02/12/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voyage,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
portrait,
... Marie-France se replaça devant les flammes et déboutonna sa veste. Un chemisier blanc avec un décolleté en jabot apparut et, pour la première fois, je trouvais la Normande digne de mon intérêt. Une énorme paire de nichons, arrogants, tendaient si fort le tissu qu’on voyait les broderies du soutien-gorge et son armature renforcée, transparaître sous le tissu quelque peu translucide. Le choc sur ma libido était si visible que, Marie-France, flattée, ébaucha un sourire tant mes yeux sortaient de leur orbite. Je venais de faire visiter leurs appartements à mes hôtes en leur affirmant que je restais à leur disposition s’il manquait quoi que soit. Je serai soit dans le bureau, sur Internet, soit devant la télé pour enregistrer une émission sur les Cyclades, vers vingt trois heures. Jean-Paul, sur les ordres de son épouse s’engouffra dans la salle de bains, en premier, sans piper mot. Marie-France me demanda un polar car, vu certains événements, elle aurait du mal à s’endormir. La porte de la chambre était ouverte, on entendait Marie-France chantonner en rangeant ses affaires, alors je frappais discrètement. Sans attendre la réponse, j’entrais avec mes bouquins. Je m’excusais ; elle aussi… de ne pas avoir fermé la porte mais voilà, Marie-France était en petite tenue. Comme elle trouvait que sa tenue était plus correcte que celle de certaines touristes sur la plage, elle écouta mes appréciations sur les deux livres policiers que je lui proposais, sans aucune fausse pudeur. Le ...
... soutien-gorge blanc, super renforcé, était décoré de cercles rose pâle, enchevêtrés les uns dans les autres, la culotte était une espèce de boxer short léopard, flottant sur les cuisses musclées, en tissu fin, de dominante jaune et noir. Je m’excusai encore une fois de mon intrusion inopportune, mais je ne pus m’empêcher de lui avouer que je trouvais sa poitrine somptueuse. Marie-France me remercia de mes compliments inattendus et elle sourit, gênée. La caméra s’attardait dans les ruelles d’un minuscule village crétois, les bougainvilliers dégoulinaient des murs immaculés, des chats dormaient au beau milieu du chemin sans la moindre crainte de se faire écrabouiller par un improbable véhicule à moteur. Les accords discordants et violents d’un solo de bouzouki furent perturbés par la petite voix de Marie-France, qui avait pénétré dans le salon sans que je ne m’en rende compte. — Je suis désolée de troubler votre tranquillité mais j’ai complètement oublié de brancher le chargeur d’accus de mon appareil photo numérique. Je n’ai pas pris beaucoup de photos, mais mieux vaut assurer pour demain. Elle portait une longue chemise de nuit en satin, pudique, de couleur abricot, agrémentée de quelques dentelles blanches autour d’un généreux décolleté. Quand mon invitée posa le chargeur sur la table basse, en s’inclinant pour brancher le cordon, force était de constater que la normande ne portait plus son soutien-gorge renforcé et que, ses splendides seins laiteux s’agitaient librement dans ...