Concours de circonstances
Datte: 02/12/2017,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
voyage,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
portrait,
... Marie-France, je réalisai la copie des photos sur disquette, me fis une copie perso. Je mis dans la poubelle numérique les originaux de l’appareil et tirai sur papier la fellation de la veille et la croupe qui venait de subir les derniers outrages. Je dois avouer que cela émut mon pénis qui prit quelque rigidité sans me demander mon avis. J’envisageais des tas de scénarios coquins pour le petit déjeuner, mais il ne se passa pratiquement rien de lubrique. D’abord Madame se leva très tard, ensuite elle portait une sorte de pantalon caleçon noir qui moulait ses fortes fesses et son gros cul, certes, mais que je ne trouvais pas du tout sexy. On faillit quand même se faire prendre par la patrouille, en l’occurrence mon épouse. Elle sonnait sans discontinuer à la porte vu qu’elle n’avait pas pris ses clefs. Faut dire que pendant que le mari était en train de boucler les valises à l’étage, j’avais bloqué Marie-France contre la porte du réfrigérateur. Elle avait rigolé quand j’avais maladroitement saisi ensemble son caleçon et sa petite culotte pour les descendre au niveau des genoux. Elle ne trouva rien à redire quand, à genoux sur le sol, je commençais à lui brouter son gros minou à la toison rousse, mais il y eut ces coups de sonnette rageurs. Les deux mois qui suivirent furent très éprouvants. Ma multinationale virait, avec décence, tous les cadres quinquagénaires dont le salaire devenait, à leurs ...
... yeux, une charge exorbitante. Classique et prévisible. Négociations âpres sur le montant de la grosse prime de départ, sur notre statut hybride, sur la voiture de fonction que je voulais garder. Officiellement j’étais chômeur, en réalité, à cinquante six ans, j’étais en pré-fausse-retraite. Je pouvais donc « me lever le matin sans rien avoir à faire et me coucher… en en ayant fait que la moitié ». Je pris la décision de m’accorder une semaine de congé sabbatique, seul, pour me ressourcer. Fermer les yeux et regarder s’il y avait encore quelqu’un à l’intérieur. Mon épouse ne me posa aucune question, elle savait que ce n’était pas vraiment le moment. J’avais choisi la région de Dubrovnik mais, aux informations, j’appris que toute cette région de la Croatie était la proie des flammes. Pas de panique, l’agence de voyages me proposa une promotion sur Rhodes, une île grecque que je ne connaissais pas. Fin Juin, temps splendide, température de l’eau idéale, petite plage de galets. Une dame bronzée, portant un maillot deux pièces, rose pâle, parsemé de petits ronds noirs sort de l’eau. Elle a les cheveux blancs, coupés très court, une poitrine somptueuse, un grand nez et les jambes un peu arquées… Marie-France s’élance, radieuse, vers un parasol. Un grec baraqué, au bronzage chocolat, la quarantaine, l’attend avec un drap de bain. Le hasard est parfois cruel, et on ne peut pas gagner à tous les coups.