1. L'âge adulte de la madone


    Datte: 03/12/2017, Catégories: ff, fplusag, Oral portrait, Lesbienne

    ... cinéma, de shorts ultra courts, de strings et toutes ces conneries pour ceux qui ont besoin d’un camion pour charger un frigo. J’aimais ce corps un peu affaissé, tout plein de défauts, et j’ai suivi un long moment un pli de graisse qui partait de la taille pour descendre vers le bas-ventre, en s’arrêtant après l’aine, un ruisseau de salive. Elle restait silencieuse, je sentais seulement sa peau qui frémissait, des petites secousses qui animaient son bassin et, de temps en temps, un petit gargouillis de sa fente qui lâchait des gouttes. Je lui ai bien relevé les jambes pour lui lécher le petit trou, elle s’agitait, n’osait pas parler, mais je comprenais les effets de mon léchage : elle en revenait pas de voir tant de science chez une mal fagotée de mon genre. Puis, je me suis arrêtée pour me serrer contre elle pendant qu’elle caressait mes fesses. — Tu sais que tu es très adroite. Tu es une amante merveilleuse.— C’est souvent que tu mets des filles de ton boulot sous la couette ?— Non, tu es la première. C’te blague. — Je te crois pas. Tu as pas de mec alors tu te tapes les nanas.— C’est pas ça, j’aime les filles, et toi, tu m’as plu. Ça aurait pu être dans la rue. D’ailleurs, je suis pas intelligente ; tu n’as qu’à aller dire au Juge que je t’ai embobinée, je saute de mon poste.— Ouais, je le ferai pas parce que j’aime bien ta fente et tes nichons.— Rien que ça ?— Pour l’instant, on verra plus tard, allez, ouvre les jambes. Et je l’ai baisée, avec passion, je me suis régalée ...
    ... de la monter au ciel, je lui ai même mis un doigt dans le derrière. Elle a joui, très fort, avec des houles dans ses hanches fortes et ses mains crispées sur mes épaules. J’étais plutôt contente de moi. Elle m’a allongée, contre elle, tout doucement, en lissant mon ventre de fillette, vu que j’ai des poils tellement blonds qu’on les voit presque pas. Elle m’a prise depuis les doigts de pied, en passant sa langue partout, tout le corps, en me retournant quand elle voulait goûter mes fesses, là, j’ai vraiment compris ce que c’était qu’une femme qui aime les femmes, pas seulement leur cul. Quand on voit une lesb’ dans un film, elle est toujours excentrique, la figure avec des pommettes bien saillantes, journaliste, flic ou avocate, et en général, un corps de rêve. C’est tellement vrai que tous ceux qui écrivent des romans sur le sujet balancent des nanas incroyables. Mathilde, l’assistante, c’est une femme, un peu nunuche, pas terrible, qui porte des culottes en coton et qui a des poils sous les bras, mais elle est vraie, bien là, un peu tanquée, un peu grasse, mais avec elle on a pas l’impression d’avoir une statue à la maison. Un jour, je suis allée dans un bar à filles, entre nous, y en avait pas beaucoup qui auraient pu décrocher un emploi chez de Fontenay. D’abord, elles étaient en général pas très jeunes, et puis y avait des moches, comme moi. Des avec un blouson en cuir, des avec des cheveux rouges et des qui vous regardent, la clope au bec, en renversant la tête pour que ...
«1...345...11»