1. L'âge adulte de la madone


    Datte: 03/12/2017, Catégories: ff, fplusag, Oral portrait, Lesbienne

    ... air tarte pas possible, surtout en regardant l’objectif, on dirait des clowns pas drôles qui font de l’œil pour essayer de faire croire que c’est drôle. Ça m’avait juste un peu, comment dire ? remuée, mais pas à sauter au plafond. On pensait plutôt à un sport. Là, je me sentais au contraire engourdie, toute abandonnée et quand elle a collé sa joue contre la mienne, j’ai senti comme de la crème, une peau douce, mais douce, et un peu molle. J’étais plus une oie blanche, les filles, je connais et bon, même si ça m’avait fait des gros plaisirs je peux pas dire que je sois tombée amoureuse. C’était que des plans cul. Alors, un de plus, un de moins, basta. Dans la chambre, elle m’a déshabillée en même temps qu’elle se déshabillait. Elle avait les mêmes dessous que moi, coton et fleurettes. Quand on a été nues, j’ai remarqué ses seins qui s’allongeaient, son ventre rond, ses poils, de la cellulite sur les hanches, des vergetures, mais bon, dans l’ensemble, plutôt bien. J’étais comme anesthésiée. Voilà que ça recommençait, et je me laissais faire. J’ai senti une chemise de nuit qui glissait sur mes épaules, j’étais fatiguée. Quand je me suis réveillée, très tôt, l’habitude, elle dormait et je l’ai détaillée. Je n’avais pas fait attention, son visage avait quelque chose de résigné, et pourtant elle avait pas hésité à me mettre à poil. Je me suis rapprochée doucement, pour m’arrondir dans son giron et son bras est venu entourer mes épaules. Des baisers ont parcouru mon cou, mes ...
    ... cheveux, mes joues, une langue est rentrée dans mon oreille, et une main est descendue vers ma poitrine, en froissant la chemise de nuit. Je me laissais faire, avec des vibrations dans mon ventre. Quand la main a atteint la fourche de mes jambes, je les ai un peu desserrées et elle est venue, hésitante, s’emparer de moi. — Tu as envie ?— Oui.— Tu veux que je te fasse l’amour ?— Je veux te faire l’amour, mais je suis vierge.— Je sais. C’est quand tu voudras.— Alors, c’est tout de suite, après, je suis pas sûre. On a glissé l’une vers l’autre pour se dévorer la bouche ; elle avait des lèvres molles et charnues à la fois. Elle m’a attirée sur elle, je m’écrasais sur sa poitrine en l’embrassant, j’avais envie de ses seins lourds et affaissés, je m’y suis attachée en les aspirant, les mordant, les léchant du bout de la langue, je me suis repue de cette chair abondante et chaude de la nuit, impossible de reculer maintenant, j’étais de nouveau soumise à mon désir, à ma passivité et j’avais sous moi une réponse dans cette femme qui secouait la tête en murmurant des « oui » à peine audibles. Sa peau c’était une pâtisserie, de la crème anglaise. Quand j’ai atteint sa minette, elle était déjà inondée et j’ai lapé là-dedans sans me presser. Elle sentait la nuit, la chaleur, la femme lavée de la veille, ça me plaisait, et je me rendais compte que j’aimais la femme, pour la première fois. Pas une femme, mais tout ce qui appartient à la femme. Je n’ai pas besoin d’un corps parfait, de seins de ...
«1234...11»