Découverte du club échangiste
Datte: 03/12/2017,
Catégories:
grp,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
couplus,
extracon,
grossexe,
boitenuit,
noculotte,
Partouze / Groupe
init,
Résumé des épisodes précédents :Étudiant travaillant l’été, j’ai rencontré Béatrice un soir dans une boîte de nuit et je suis devenu son amant. La quarantaine, riche et sensuelle, elle fait tout pour me garder le week-end et me présente à Charles-Henri, son mari. Ce dernier, nullement jaloux, me demande de lui trouver une jeune fille.Je décide Christine à se joindre à nous, et la soirée se termine en partie carrée.En se quittant, le couple nous propose de nous emmener le lendemain soir, Christine et moi, dans une boîte sympa… qui s’avère être un club échangiste. __________________________ Béatrice et Charles-Henri nous accueillirent à bras ouverts. Charles-Henri faisait très PDG en vacances. Chemise de grand couturier, foulard de soie et lunettes de soleil signées. Un peu grisonnante, sa chevelure poivre et sel ajoutait une note de maturité sans nuire à son charme. Béatrice avait une jupe droite assez courte et un chemisier blanc qui se boutonnait sur le devant assez ouvert sur le sillon de ses seins. Il était environ 20 heures, et ils nous proposèrent d’aller prendre un cocktail dans le bar d’un hôtel un peu à l’écart de la station. Béatrice nous prévint que, malgré l’ambiance très intime de cet endroit, il n’était pas question de galipettes ni même de flirter. Il fallait être très BCBG. Déjà qu’en sortant de l’hôtel, Christine ne passait pas inaperçue avec son haut noir léger qui dévoilait généreusement sa superbe poitrine sans soutien-gorge… Les regards de quelques hommes ...
... présents étaient attirés par ses mamelons qui marquaient visiblement le tissu. Elle avait aussi mis une mini-jupe assez ample qui voletait autour de ses cuisses, dévoilant presque à chaque pas le joli pli prometteur d’une fesse bien galbée. — Tu es sublime ! lui avait dit Charles-Henri en quittant l’hôtel. Tourbillonne un peu pour voir…— Euh, je ne peux pas faire ça ici ; je vais me faire arrêter pour attentat à la pudeur.— Pourquoi ? On verra ta culotte ; et après ?— Je n’ai pas de culotte ! La surprise passée, Charles-Henri se mit à rire bruyamment. — Ça alors… Tu es super ! Ça m’excite ! Il faudra quand même que tu me montres ça. Tu entends, Béa ? Toi qui avais peur d’avoir une jupe trop courte, Christine, elle, n’a pas de culotte.— Oui, mais moi je n’ai plus son âge. Tu n’en mets jamais ?— Si, si. Mais compte tenu de l’endroit où nous devrions finir la soirée, ça m’évitera de la chercher au moment de rentrer.— Ah bon, parce que tu sais où nous vous emmenons ce soir ? dit Charles-Henri avec un air amusé.— On va auVIP, non ?— Et tu y es déjà allée, toi, auVIP ?— Non. Mais je sais que c’est un club à partouze, et qu’on y va pour faire des galipettes en groupe. J’imagine bien que si on s’amuse un peu, il vaudra mieux ne pas avoir à remettre ma culotte entre chaque phase du jeu. Et puis il faut sans doute être sexy, et même provocante, non ?— Bon ; eh bien, je vois que tu es prévenue… et consentante. Ça facilitera les choses. En allant à la voiture, Christine trouva le moyen – ...