Découverte du club échangiste - Histoires de Sexe

Découverte du club échangiste

... lorsque nous étions un peu à l’abri des regards – de faire voler sa jupette, au grand ravissement de Charles-Henri. Elle poussa même le jeu jusqu’à faire semblant de ramasser quelque chose par terre en passant entre deux voitures, livrant à notre vue toute son intimité. Charles-Henri était aux anges. — Tu es merveilleuse, je t’adore ! La grosse Mercedes était très confortable. Sans hésitation, Béatrice s’était installée près de moi sur le siège arrière, et dès que nous fûmes sur la route elle se pendit à mon cou pour m’embrasser, écartant largement les jambes pour faciliter la fouille profonde que j’avais entreprise entre ses cuisses. De son côté, Charles-Henri bien qu’occupé par la conduite de la voiture, passait son temps à mater Christine qui, relevant sa mini, lui offrait la vue de son sexe nu. C’était quelque peu dangereux car la route était sinueuse. Ça ne s’arrangea pas vraiment quand il ne put s’empêcher d’y porter la main, tout en conduisant de l’autre. Tout le monde reprit une posture décente en arrivant au bar, qui en ce samedi soir faisait le plein. Béatrice et son mari étaient très connus. Ils ne cessaient de saluer par des signes de tête les personnes des autres tables. Avant d’entrer, ils nous avaient à nouveau alertés sur le fait qu’il n’était pas question de montrer ici nos véritables relations. Pour tous, Béa et Charles-Henri formaient un couple normal, et nous étions leurs invités, point ! Mais l’heure avançait et Charles-Henri, après avoir réglé la note, ...

... donna le signal du départ pour le club, où nous devions aussi dîner. Comme nous avions entamé une discussion technique entre hommes, Béatrice me suggéra de monter à l’avant pour la continuer. Je crois aussi que les embardées de l’aller, conséquences de l’attention portée par son mari à l’entrejambe de Christine, lui avaient fait assez peur. Après quelques minutes, nos hôtes s’inquiétèrent de savoir, maintenant que le moment fatidique approchait, si nous avions des appréhensions. — Vous verrez, dit Béatrice, c’est vraiment sympa. L’ambiance est super. Tout est fait pour vous mettre à l’aise. Jeunes comme vous êtes, vous serez sans doute sollicités par de nombreux partenaires. Marc ? Marc, tu ne me laisses pas tomber, hein ? Je veux bien que tu ailles un peu avec d’autres, mais tu évites de me quitter trop longtemps, n’est-ce pas mon chéri ?— Oui, promis !— Tu es gentil. Ah, règle de base numéro un : on ne force personne. Souviens-t-en, Christine ; si ça ne te plaît pas, tu dis non. Et ça doit être suffisant pour que le solliciteur cesse. Par contre, il faudra sans doute que tu sois aussi un peu lesbienne, ma chérie : les hommes adorent ça… et les femmes aussi, d’ailleurs.— Ça, ce n’est pas un problème. De toute façon, ça m’arrive assez souvent de faire des trucs avec des copines. Mais, Béa, fais-moi aussi le plaisir de te mettre à poil dans la soirée. Ne sois pas ridicule avec ton putain de soutif. Ta poitrine n’a rien de choquant, et je suis sûre que plus d’un mec voudrait se ...