Découverte du club échangiste - Histoires de Sexe

Découverte du club échangiste

... faire jouir entre tes seins. Tu l’enlèveras, OK ? Je suis sûre en plus que ça fera plaisir à Marc.— Si c’est toi qui le dis, Christine, d’accord. Mais alors je le quitte maintenant dans la voiture pour m’habituer… et pour être sûre de ne pas pouvoir le remettre dans la soirée.— Splendide ! C’est moi qui l’enlève. La route était déserte. Sans hésiter, Christine se mit à déboutonner le chemisier et à le dégager de la jupe, puis à l’ôter complètement. Béa, un peu figée, redressait le buste au maximum. — Ça va, ma chérie ? Tu es toujours d’accord ? demanda Christine en souriant.— Oui, oui ; vas-y qu’on en finisse. Marc, regarde la route ! Passant les mains autour du buste, la jeune fille dégrafa et enleva le soutien-gorge blanc, libérant deux seins lourds mais parfaitement harmonieux, séparés par un sillon profond qui me donnait envie d’y mettre ma bite. Nous applaudîmes tous les trois. — Ils ne sont pas trop moches ?— Tu plaisantes ? Ils sont parfaits, dit Charles-Henri. Christine, de son côté, ne se privait pas de la peloter à pleines mains et même de lui sucer les tétons, déclenchant quelques soupirs. — Attends, Christine, attends ! haletait Béatrice. Je… C’est trop fort, je vais arriver avec le visage en feu auVIP !— Bon, ça va, j’arrête. Mais ils sont merveilleux, tes nichons, et tu as tort d’en priver les autres… surtout Marc. Hein, Marc ? J’approuvai, et à demi retourné sur le siège, je tendis la main vers ses seins pour en effleurer les mamelons qui s’érigèrent un peu ...

... plus. Mais je vis que ce qui lui faisait le plus plaisir, c’était le compliment de son mari. Le chemisier remis en place, Béatrice était très sexy. Comme Christine, ses mamelons semblaient vouloir perforer le tissu, ce qui apportait une touche érotique certaine. Et puis la jeune fille avait empêché son aînée de boutonner le chemisier au plus haut. Les deux boutons ouverts laissaient donc voir le sillon et les deux seins jusqu’au torse de Béatrice. — Te voilà prête pour leVIP.— On arrive bientôt, dit notre chauffeur. On est à l’heure…— Hé ! Et Marlène ? dis-je en me retournant vers Christine.— Quoi, Marlène ?— Ben, on a promis de demander à nos amis s’ils seraient d’accord pour qu’elle nous accompagne.— Oui ; ben, tant pis ! C’est trop tard maintenant…— Non, attendez. C’est qui, Marlène? demanda Charles-Henri.— C’est une copine à l’hôtel.— C’est loin, ton hôtel ?— Non, non, c’est le N…— Eh bien, on va la chercher, dit Béatrice à son tour. Plus on est de fous, plus on rit. Surtout dans une boîte à partouze.— Oui, mais elle est plutôt rondouillarde.— Ça ne fait rien ; tu n’as pas encore vu ceux qui y viennent : il n’y a pas que des canons, tu sais !— Et puis elle n’est pas accompagnée…— Une femme en plus, ça ne pose pas de problème ; au contraire ! Elle est jeune ?— Ben, elle a mon âge.— Alors aucun souci : elle aura du succès. On passe la prendre, le détour est court, dit Charles-Henri.— Et en plus on sera les bienvenus, ajouta Béatrice. C’est rare ceux qui amènent une femme en ...