Une simple visite...
Datte: 17/06/2017,
Catégories:
f,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
volupté,
Masturbation
uro,
init,
... continuent à astiquer son intimité, sa paume à écraser son clitoris et ses autres doigts à jouer avec la pointe de ses tétons, comme si elle voulait se les arracher ou les faire disparaître dans la masse un peu molle des seins. Les doigts, brillants de plaisir, entament une infernale descente vers l’anus qu’ils vont toucher, dont ils dessinent le contour et écartent, au fur et à mesure, l’entrée qui est secouée par les spasmes du plaisir. Puis, d’un index raide, qu’elle manipule dans son anus comme une petite et fine queue de mâle, elle entame une série de petits va-et-vient qui relancent son excitation en même temps que celle de Victoria qui reste les yeux rivés sur ces nouvelles indécentes caresses intimes. Victoria, pourtant honteuse de ce qui vient de lui arriver, n’a pas le temps de reprendre totalement ses esprits, de décontracter ses muscles. Déjà, elle sent une nouvelle vague de contractions venir animer ses muscles intimes. Déjà elle sent ses jambes, ses cuisses, ses fesses, son vagin, son clitoris, son propre anus se contracter et repartir vers de nouveaux sommets de félicité. Sa respiration, qu’elle tente bien de contrôler elle aussi, s’accélère et elle recommence à enfoncer de plus belle ses doigts et ses ongles dans le tissu des accoudoirs. Un nouveau jet chaud se répand entre ses cuisses, venant ajouter de nouveaux dégâts au coussin, encore plus terrible que le premier, plus long, plus vigoureux. Victoria dès qu’elle se sent revenir légèrement dans la ...
... réalité, perçoit toute l’incongruité de la situation et sa gêne s’amplifie. Sous elle, elle se sent tremper dans une sorte de jus chaud qui baigne ses fesses, ses cuisses. Elle n’ose plus bouger et se demande comment elle va sortir de cette situation pour la moins embarrassante. Enfin, Hélène lâche une série de feulements sifflants, amortis par la contraction de ses dents sur ses lèvres. Elle a soudain une sorte de tétanie généralisée de son corps qui se tend et lui fait suspendre ses gestes. Elle est en train de jouir. Elle jouit. Un doigt enfoncé le plus loin qu’elle puisse dans son anus, elle continue à écraser avec l’intérieur de son poignet son clitoris qu’elle maltraite ainsi. L’autre main demeure crispée sur la pointe d’un sein, qu’elle martyrise et tient en l’air comme si elle voulait l’accrocher au plafond. Elle ne bouge plus. Elle savoure son extase. Elle apprécie sa jouissance. Elle ne bouge plus car elle voudrait prolonger encore et encore cet instant de vive béatitude. Elle est heureuse. Elle est heureuse parce qu’elle vient de réaliser un de ses fantasmes : se caresser à la vue d’une jeune femme, inconnue et intimidée par la situation. Et tous ces éléments réunis l’aident dans sa jouissance, y participent largement. Maintenant, elle reprend son souffle, calme les élancements de sa poitrine, de son ventre. Tranquillement elle revient dans la réalité. Elle sort de sa torpeur et découvre Victoria, les traits tirés et contractés, raidie sur son fauteuil, les mains aux ...