Une simple visite...
Datte: 17/06/2017,
Catégories:
f,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
volupté,
Masturbation
uro,
init,
... jointures blanchies par la violente contraction qu’elle leur inflige, les yeux un peu extasiés et encore remplis de la scène terminale qu’elle vient de contempler. Reprenant le contrôle d’elle-même, Hélène tranquillement lâche son sein, extrait son doigt de son fondement, referme les cuisses, et rabat les pans de son déshabillé. Par quelques tapotements elle remet de l’ordre dans les plis de son vêtement d’intérieur, rajuste un cordon qui ceinture son ventre, remet avec coquetterie les deux ou trois mèches de cheveux qui avaient glissé hors de la mise en plis, puis sourit à Victoria. Et comme si rien ne venait de se passer, sur un ton naturel, juste peut-être encore un peu haletant, elle lui demande : — En attendant Michel, souhaitez-vous prendre une tasse de thé ? Là, Victoria reste bouche bée. Elle ne sait quoi répondre. C’est vrai, la question arrive à brûle-pourpoint, comme les caresses un instant auparavant, sa jouissance, humide très humide, il y a une poignée de secondes. C’est qu’elle n’est pas encore totalement revenue sur terre, elle. Elle a besoin de plus de temps pour calmer les vibrations de son corps. Et puis il y a la marre de liquide dans lequel elle baigne et qui refroidit déjà sur les côtés et reste chaude sous ses fesses. Alors elle hésite un moment à répondre ou à s’expliquer. Devant son hésitation, qu’Hélène comprend comme une preuve d’acquiescement et de retenue de la part de sa jeune visiteuse, elle plonge sa main entre les coussins de son sofa où elle ...
... récupère un petit boîtier minuscule dont elle actionne le bouton. Presque instantanément, la porte de la chambre s’ouvre pour laisser apparaître une soubrette en uniforme noir, tablier blanc, petite coiffe blanche amidonnée plantée dans les cheveux tirés. — Madame a besoin de quelque chose ?— Oui, apportez-nous deux thés.— Tout de suite, madame. Le dialogue est des plus succinct. La voix d’Hélène ne trahit aucune faiblesse. Elle a retrouvé tout son naturel, légèrement alanguie peut-être, mais comme son état de santé semble être voué à l’alanguissement, personne ne peut soupçonner quoique ce soit. Et la soubrette ressort immédiatement laissant à nouveau les deux femmes en tête-à-tête. En attendant que le thé ne soit servi, Victoria se sent prise au piège. Elle n’ose bouger et pourtant ses fesses, ses cuisses commencent à gratter. L’humidité ambiante, le poisseux du liquide qu’elle a répandu à l’instant sur le tissu piquent sa peau, l’irritent. Elle aimerait bien bouger, changer de position, croiser peut-être ses jambes de façon naturelle. Elle aimerait surtout trouver le courage de dire la vérité à la maîtresse de maison et pourquoi pas, lui emprunter un instant son cabinet de toilette pour se nettoyer et si elle était très sympa, lui emprunter une robe ou un pantalon. Bref, elle ne rêve plus que de se mettre les fesses au sec et se changer. D’ailleurs, elle voudrait se sauver pour éviter de rencontrer Michel et devoir lui donner des explications. Mais Victoria hésite encore. ...