1. Une simple visite...


    Datte: 17/06/2017, Catégories: f, fplusag, jeunes, inconnu, volupté, Masturbation uro, init,

    ... d’occasionner, Victoria surgit, tel un diablotin de sa boîte, de son fauteuil. Entre la trace humide de thé devant et sur les côtés et celle de ses jouissances de tout à l’heure, la différence ne se voit pas ! Enfin, elle a trouvé un prétexte pour sortir « honorablement » de sa fâcheuse situation. Bien sûr, Hélène fait une petite grimace de dépit, face à la gaucherie de cette jeune personne et hèle nonchalamment la jeune bonne qui déjà se précipite en comprenant ce qui vient de se passer. Elle s’empare d’une serviette et tente de tapoter la jupe courte toute mouillée, mais en vain. — Vous ne pouvez pas rester ainsi, Victoria ! S’exclame quand même Hélène. Annette va aller vous chercher une robe à elle, vous devriez avoir la même taille, au moins vous serez au sec.— Merci bien… murmure Victoria, l’air encore contrit.— Bien sûr, Madame ! s’empresse de répondre la petite bonne.— Je vous prie d’excuser ma maladresse. J’espère que le fauteuil n’a pas trop de mal ?— Ce n’est rien, juste un peu de thé… Il en a vu d’autres, hein ! … Ce n’est qu’un fauteuil après tout… Et comme tout à l’heure, elle semble brusquement désintéressée par l’incident qui vient de se produire et replonge tranquillement son nez dans sa tasse dont elle sirote le liquide brûlant en pinçant légèrement ses lèvres. Annette revient rapidement avec une jupe en cuir qu’elle tend à Victoria en lui certifiant : — Je pense qu’elle devrait vous aller, tout au moins elle vous dépannera. Vous aurez qu’à la rendre par ...
    ... l’intermédiaire de monsieur Michel.— Merci… Victoria, la jupe dans ses mains, cherche des yeux un endroit plus discret que le centre de la chambre pour se changer. — Suivez-moi, ajoute Annette. Je vais vous conduire au cabinet de toilette. Et Victoria lui emboîte le pas, sortant de la pièce par une autre porte, dont la découpe se confond avec la tapisserie, pour se retrouver dans une vaste salle d’eau. — Voilà, vous serez mieux ici. Je vais vous donner une serviette pour vous essuyer. Si vous voulez du savon pour vous rincer, vous avez l’embarras du choix, dans cette corbeille.— Merci… Enfin, Victoria est seule. À peine la porte refermée sur Annette, elle enlève sa jupe qui est bonne à essorer, tant elle est trempée et extrait sa culotte de ses fesses et de son minou, un magnifique tanga bleu nuit avec un petit feston de dentelle crème. Elle était toute fiérote en début d’après-midi, quand elle l’avait enfilé en prévision d’une pause coquine. Mais le voilà en un bien piètre état. Trempé lui aussi, racorni dans son entrejambe, plissé et sentant fort cette odeur si caractéristique du mélange de cyprine, d’urine et ces relents douceâtres et un peu écœurants de ses liquides intimes qu’elle a lâchés en deux ou trois grands jets dans sa jouissance. Tout en faisant une boule pour le glisser le plus discrètement possible dans le fond de son sac, elle passe une main distraite sur ses fesses, moites, encore marquées des plis du coussin qui se sont incrustés dans sa peau. Le contact du bout ...
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