Une simple visite...
Datte: 17/06/2017,
Catégories:
f,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
volupté,
Masturbation
uro,
init,
... Une forme de pudeur la retient de s’exprimer, de remuer. Dans sa tête, elle pèse le « pour » et le « contre » ; « Après tout, se dit-elle, qu’est-ce que je risque ? Rien ! » Et puis, elle se raisonne : « C’est quand même pas ma faute si cette folle s’est mise à se branler et que sa branlette m’a excitée comme une puce pour finir par me faire jouir aussi ! » Et de conclure, in petto, « Maintenant, faut qu’elle assume. Elle, elle est malade, moi je suis une fontaine, bon j’y peux rien… » Pourtant, elle tergiverse encore quelques instants car dans son for intérieur elle ne sait qu’elle sera la réaction d’Hélène. « Sait-elle seulement ce qu’elle a fait ? se demande Victoria. S’est-elle rendue compte de la situation et de l’état dans lequel elle m’a mis ? C’est vrai qu’elle est malade ! » Alors elle reporte encore de quelques minutes sa décision de bouger et de lui parler « Dès que le thé sera servi ! Promis, juré… » se dit-elle. Oui, mais voilà, dans les maisons bourgeoises, le service des patrons est prioritaire et en quelques instants le thé est servi avec style et délicatesse. Et la jeune bonne « encore une nouvelle tête, se dit Victoria » prend son temps pour bien l’infuser, proposer du lait ou du citron à Victoria, puis à Madame, accomplit son service avec une lenteur exaspérante puis se met en tête d’aller retaper le lit, ranger quelques bricoles qui traînent deçà, delà. Et Victoria commence sérieusement à se trémousser tant son assise est devenue totalement ...
... inconfortable. Elle en arrive au point où les souvenirs de sa toute petite enfance lui remontent à l’esprit, quand un accident de nuit survenait et qu’elle se retrouvait alors dans un drap trempé attendant le plus possible le moment de se lever, quand il lui faudrait affronter le courroux de sa mère, les risées de son frère… Et la petite bonne qui va-et-vient derrière elle. Victoria n’en peut plus. Il faut qu’elle s’exprime, qu’elle s’explique. Mais elle a un peu honte et s’il faut s’humilier devant la tante de Michel, autant que cela reste entre elles, elle n’a pas envie en plus que la bonne et tout le service soient immédiatement au courant. Alors, elle respire un grand coup et profite de se pencher en avant pour saisir la tasse de thé, qu’elle a refusé quelques minutes avant que la petite bonne ne lui remette en main, pour bouger légèrement. D’une main un peu tremblante, encore douloureuse de ses fortes crispations pour assurer un semblant de contrôle de ses muscles, Victoria remonte la tasse qui tintinnabule sur sa soucoupe. Foudroyante, une idée géniale lui traverse l’esprit ! Tout en se renfonçant dans son fauteuil, Victoria heurte volontairement du coude l’accoudoir et la tasse, en équilibre instable dans sa main, verse tout son contenu sur ses cuisses, éclabousse le fauteuil, se répand sur une partie de son bas ventre. Maintenant, elle est trempée de thé chaud, la rondelle de citron gît en équilibre instable sur l’accoudoir. Confuse de sa maladresse, des dégâts qu’elle vient ...