Il avait un joli nom mon guide. Nathalie
Datte: 04/12/2017,
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... C’est ce que mon cerveau d’épouse me crie. La raison me rappelle à l’ordre. Et moi ? Qu’ai-je donc fait ? Même si c’est sous l’insistance du couple, j’ai bel et bien fauté. De toute façon, Franck me prend par la main. — Viens(tiens, il me tutoie), allons les regarder. Elle n’a pas perdu de temps. La salope est déjà à genoux devant mon mec assis sur ce banc et le suce. Même dans cette partie du jardin, on peut les voir. La pleine lune est notre complice. — Approchons. Ne fais pas de bruit, me dit Franck à l’oreille. Il m’entraîne pour faire un détour et arriver par derrière le banc. Un arbre nous cache un peu, mais il suffirait que Jean tourne la tête pour nous voir. C’est improbable, car il est entièrement concentré sur son plaisir. Dans le silence de la nuit, on entend très bien le bruit de la fellation, de la salive dont la salope enveloppe la queue de mon mari. — Oh, Anne, on ne devrait pas. Ce n’est pas bien. Votre mari … Ouiii comme ça ! … Continuez ! La salope va-t-elle le pomper jusqu’à ce qu’il crache dans sa bouche ? Elle en est capable bien sûr. Moi j’ai encore le goût du foutre de Franck. Mais elle a une autre envie. D’une certaine façon, de notre trio c’est elle qui a eu le moins l’occasion de jouir, plus donneuse que receveuse. Le banc nous la cachait. Elle réapparaît. Elle s’installe sur Jean qui recule un peu afin qu’elle vienne s’asseoir sur lui. En une seconde la voici cavalière de cet homme que je pensais bien loin de l’adultère. On la voit très bien. Pire, ...
... Franck me pousse encore un peu plus et nous voici à peine à deux mètres du banc derrière un arbre qui ne cache plus que l’épaisseur d’un demi-sein. D’ailleurs Anne nous voit approcher tels des Sioux et sourit de notre présence. Quelle salope ! Quel couple ! Des pervers, mais des pervers très habiles. En vingt-quatre heures, ils ont su me tenter et me séduire, me réduisant il y seulement une heure en une proie consentante. Et voici maintenant qu’en quelques minutes, la femme, aussi perverse que le mari, se fait mon époux. — Putain que c’est bon, dit la femme qui se baise sur le mandrin de mon homme. À propos de mandrin, Franck me fait sentir le sien. Il le frotte contre mes fesses me faisant bien sentir son objectif. D’ailleurs la main puissante qui appuie sur ma tête me fait comprendre de me pencher. J’ai déjà vécu cela par mon premier amant et l’arbre me sert d’appui. Le cul en arrière, les jambes déjà écartées, je suis prête à la possession. Ce sera la première fois que… waouh, un réflexe me fait mordre les lèvres pour ne pas crier. Crier non pas de douleur, mais de surprise. De la surprise que la bite entre si facilement dans ma grotte malgré sa taille. Une grotte, c’est vrai, bien humide de la jouissance apportée tout à l’heure par la femme, la même qui actuellement monte et descend sur une autre bite. Un long moment chaque couple baise en silence. Franck retient sa puissance. J’ai encore en mémoire la façon dont il baisait sa femme l’autre matin avec le bruit des chairs ...