Il avait un joli nom mon guide. Nathalie
Datte: 04/12/2017,
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... chair. Mais même ça, c’est bon. Combien de temps suis-je l’esclave sexuelle de Franck ? Je ne saurais le dire. Je pourrais compter en jouissances, petites jouissances qui préparent la grande. Celle que je sens venir alors que la queue semble gonfler. Que je sens me quitter comme pour prendre de l’élan et replonger dans une grotte sans fond. C’est moi ? C’est moi que j’entends dire, que dis-je, hurler mon plaisir ? Lorsque j’effleure mon clitoris en quelques secondes, je viens. « Oui… oui… » Cela paraît bien peu, mais pas lorsqu’on le hurle et que les « iiiii » semblent ne jamais s’éteindre. Il est toujours aussi dur, aussi gros, aussi long. Il est juste calé en moi, le temps que ma jouissance se calme. Mais il me quitte. Dommage. J’aurais bien aimé… Pourtant il est toujours là. Le gland joue le long de ma fente, caresse mon clito, se frotte à ma corolle. Je sens quelque chose de chaud, d’humide que la bite s’empresse de répandre. Franck jouit ? Mais non, cela se reproduit. Je comprends. Mon dieu, je comprends son idée. C’est de la salive. Il crache sur mon anneau et s’il l’étale c’est pour… Non… Pourtant je le sens. Il s’appuie sur mon anus. — Jean ! Jean ! Il veut me prendre par… Non.— Oui. Chérie. Il va te prendre comme ...
... moi… Comme j’aime… Et tu vas aimer… Décontracte-toi… Respire… Facile à dire. Mais il pousse. Il force. Mon anneau résiste et puis il cède. Je sens le monstre qui avance. Une douleur ? Non une gêne, ou une sensation étrange, inconnue. C’est ça, se faire sodomiser ? Oh, pas seulement, je sens parfaitement que quelque chose entre dans mes entrailles. Déjà ? Il est déjà en moi ? Je sens son ventre contre mes fesses. Il me couvre. Il est chevillé en moi. Chienne qu’un mâle enfile. Il bouge maintenant. Doucement. Rien d’une possession brutale, mais le simple déplacement du mandrin me procure des sensations étranges. — Putain, un cul de vierge. Elle est serrée comme une pucelle. Elle me pompe. C’est Franck, mon enculeur. Mais un Franck différent. Il se parle à lui-même. Il se laisse emporter par son propre plaisir. Quelques mouvements suffisent dans mon conduit si étroit que sa jouissance arrive. Il m’inonde. Je sens, et bien mieux que dans mon vagin, son sperme jaillir et me lessiver. Voilà ! Il a fait de moi une salope. En l’espace de deux jours, cet homme a craché son foutre dans tous mes orifices. — À toi, Jean. Encule ta femme. Elle est ouverte…— -----------------------------------------------------------------------------------