Il avait un joli nom mon guide. Nathalie
Datte: 04/12/2017,
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... qui se heurtent. Un tel bruit attirerait l’attention de mon mari bien que sa cavalière ne se prive pas de se laisser tomber sur lui. — Tu imagines si nos conjoints nous surprenaient, provoque la perverse Anne.— Ne parle pas de malheur. Ce serait la catastrophe. Nathalie ne me le pardonnerait pas.— Tu crois ? On ne sait jamais. Moi, cela m’excite lorsque Franck me regarde.— Comment ? C’est déjà arrivé ?— Mais oui. Plus d’une fois. Nous avons cette liberté. Tu verras plus tard.— Plus tard, mais… Oh je viens… je viens.— Inonde-moi. Crache ton foutre. Il n’y a pas qu’elle à recevoir le jus de son amant. Franck me noie. Après ma gorge, c’est ma vulve. Moi aussi j’ai eu mon plaisir, mais un plaisir retenu, silencieux. Je suis même étonnée d’avoir joui si vite. La situation peu banale doit y être pour beaucoup. J’ai finalement bien aimé voir et entendre mon mari alors qu’un autre me bourrait. Lorsque Jean revient dans la chambre, je suis dans le lit et m’étonne : — Tu étais où ? Ça va ? Pas mal à la tête avec tout ce que tu as bu ?— Un peu vaseux, mais Anne m’a donné un truc pour calmer tout cela. Et il se couche. Quel culot ! Un remède ! Le remède il doit en rester des traces sur sa bite qui doit être encore grasse de leurs cochonneries. Moi, au moins, je me suis fait une petite toilette. Ma bouche a perdu le goût de la liqueur de Franck et ma grotte est prête pour d’autres…« Chut, arrête. Il est temps de dormir. » me dit une petite voix. Malgré le « remède » d’Anne, le réveil ...
... de Jean est tardif. Il n’apparaît qu’au moment du repas. Mais il faut dire que cela lui réussit bien. Je retrouve mon chéri en forme et les regards qu’il échange avec Anne montrent que la nuit n’a pas été effacée de sa mémoire. Il est si bien, qu’après le repas, alors que nos hôtes se déshabillent pour bronzer au bord de la piscine, il enlève son maillot de bain, me regardant avec une sorte de défi. Un défi que je relève et nous voici tous les quatre dans le plus simple appareil pour profiter de ce soleil un peu voilé, mais si agréable. Le temps passe. Il faudrait que l’instant ne cesse jamais. Voilà comment j’imagine des vacances. Dans le luxe d’une belle maison et une piscine juste pour nous. Franck nage. C’est un régal de le voir évoluer, nageur parfait avec des mouvements qui paraissent si faciles et efficaces. Moi, je nage comme une grenouille. Jean n’est pas meilleur. Anne n’est pas au niveau de son mari, mais j’aimerais avoir sa technique. L’après-midi s’écoule, alternance de silences, même de somnolences et de conversations dont la banalité est délicieuse. Je bavarde avec Anne. Les hommes entre eux. À un moment, Anne me propose d’aller voir avec elle dans sa garde-robe si je pourrais trouver « mon bonheur » comme elle dit, en attendant demain de recevoir le pécule prévu par la mairie et les assurances et de me rééquiper. Lorsque nous revenons, Franck est sous la douche. La piscine est très fortement chlorée et pour se débarrasser de l’odeur, se rincer est encore la ...