Il avait un joli nom mon guide. Nathalie
Datte: 04/12/2017,
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... aussi de jouer la voyeuse. Quand tu étais avec Anne. Avec Franck même ! Je suis une débauchée. Mon père avait raison, Satan existe.— Allons, mon amour. C’est juste du plaisir. Il y a le plaisir de faire. Il y a le plaisir de regarder.— Tu crois. Et toi, tu as du plaisir avec un homme ?— Beaucoup.— Ça ne fait pas mal ?— Chut. Dormons. Si nous restons, demain devrait être une belle journée si nous leur avouons tout. Car nous restons, n’est-ce pas ?— Si tu veux.— Je me sens si libéré de ce secret que je n’osais t’avouer. Et puis, moi aussi j’aimerais voir.— Voir quoi ?— Mais toi, mon amour.— Oh ! Étrangement je me suis endormie sur cette décision. Le matin, j’ose réveiller mon mari en le suçant. Pour la première fois, je garde son jus dans ma bouche et me sentant perverse et investie de la mission de satisfaire mon homme, j’avale ! La plus belle des récompenses, c’est ce baiser, partagé avec Jean ne répugnant pas à goûter par mon intermédiaire son propre sperme. Nous devons tout nous dire, mais je n’ose lui demander si, en plus de se faire enculer, il apprécie de goûter au foutre de ses amants ? Je ne sais pas si cela se lit sur notre visage, mais, au petit déjeuner, à la constatation : — Vous avez l’air en pleine forme. C’est moi qui réponds : — Oui, Jean et moi on s’est tout dit.— Oh, nous sommes heureux pour vous. J’insiste : — C’est grâce à vous. Votre liberté nous montre le chemin. Merci.— Merci à vous également. C’est très rare de pouvoir initier des jeunes comme vous, ...
... avec ce potentiel… Franck ne termine pas sa phrase, mais ce n’est pas nécessaire, chacun a compris, et le téléphone sonne. C’est la Mairie. Les assurances mettent à notre disposition une somme d’argent afin que je puisse reconstituer ma garde-robe et divers objets disparus ou dégradés par la tempête. Mais la tempête n’est pas qu’un mauvais souvenir. C’est elle qui nous a mis en contact avec ce couple. La suite s’enchaîne comme un tourbillon. Jean et moi allons chercher ce pécule en argent liquide. En revenant, nos hôtes nous proposent d’aller à S*****, ville à 30 km où il y a plus de commerces que dans la station balnéaire. Tout naturellement, Franck me fait monter à côté de lui. Tout naturellement, c’est lui qui me prend la main alors que nous déambulons. C’est presque lui qui décide pour mes achats, en particulier pour la lingerie que je vais essayer avec lui dans la cabine. J’apprécie son regard lorsque je me déshabille pour essayer, son geste délicat pour ajuster une bretelle. Tout mon corps est en émoi. C’est fou ce que cet homme me fait de l’effet. Mais il ne me touche pas. Juste une lueur d’envie. J’adore le regard de Jean qui me questionne silencieusement à la sortie de la cabine. Mais non, chéri, ce n’est pas le genre de me baiser à la sauvette. Tout naturellement, nous invitons nos hôtes au restaurant pour les remercier de leur hospitalité. L’ambiance est décontractée, mais chacun imagine ce qui pourrait se passer. La présence de nombreux touristes et les tables ...