Pourquoi la gêne ?
Datte: 04/12/2017,
Catégories:
fh,
voisins,
vacances,
piscine,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
Je ne voyais pas très bien : les planches de la clôture me cachaient partiellement la vue, mais elle était bien là, et sa peau soyeuse et bronzée m’inspirait des images qui faisaient rapidement augmenter ma fréquence cardiaque. Ma voisine avait environ 25 ans alors que je n’en avais alors que 17. Depuis que j’avais pris conscience de mes désirs elle était l’objet de la majorité de mes fantasmes. Elle était ma voisine, mais je la connaissais à peine, si ce n’est de vue. En fait, elle habitait la maison voisine du chalet de mes parents. Donc je ne la voyais que très peu. Mais cet été-là, j’avais décidé d’en profiter. Le terrain sur lequel était construite la demeure de mes parents était très vaste et il y avait de nombreux arbres qui formaient un petit bois. Au bout de celui-ci, il y avait une clôture qui séparait les deux propriétés. C’est donc là, à l’ombre et à l’abri des regards que je pouvais mater ma jolie voisine sur le bord de sa piscine. Julie mesurait environ 1m 65 et devait faire dans les 55 kg. Elle avait de longs cheveux bruns, des yeux verts et un sourire parfaitement craquant, une poitrine généreuse mais pas trop, de belles fesses rondes, de belles jambes et elle s’habillait toujours de façon relax, mais sexy. Bref, elle m’allumait littéralement ! Nous passions, ma famille et moi, l’été au chalet ; j’avais un petit emploi chez l’épicier du village et le reste du temps je m’amusais avec les quelques copains que je m’étais fait au fil du temps et que je revoyais ...
... chaque été. La première semaine de nos vacances je ne travaillais pas, et en allant me promener dans le bois, je m’approchai de la clôture en espérant revoir la belle Julie. Quelle joie quand je la vis étendue sur une chaise longue à se dorer au soleil. Elle portait une jolie robe qu’elle avait remontée à mi-cuisse et lisait tranquillement. Je m’efforçais tant que possible de bien la voir, mais la clôture ne me facilitait pas la tâche. Mais je réussis tant bien que mal à la regarder un peu. Comme j’étais de nature solitaire, mes parents croyaient que je m’isolais et que je cherchais à me ressourcer après la fin des cours, et donc ne se posaient pas trop de questions à propos de mes activités. J’ai repris mon manège chaque jour de la semaine. Parfois Julie y était, d’autres fois elle me faisait attendre. Mais chaque jour, je la voyais. Lors des journées plus chaudes, elle me faisait le plaisir de porter un bikini qui mettait ses courbes en valeur. Jamais elle ne sembla s’apercevoir de ma présence. Le vendredi après-midi, soit le sixième jour de mes vacances, fut un moment charnière. Cet après-midi-là, comme tous les autres, je me suis installé à mon poste pour l’observer. Elle était déjà là, mais elle avait quelque peu modifié sa position. Sa chaise me faisait directement face et elle se trouvait à m’offrir une belle vue sur son entrejambe. Elle portait une jupe et un t-shirt. Mais, dans sa position, elle avait les jambes un peu écartées, je distinguais le tissu blanc de sa ...