Pourquoi la gêne ?
Datte: 04/12/2017,
Catégories:
fh,
voisins,
vacances,
piscine,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... faire ? Je me sentais étourdi, comme un zombie je me levai et me dirigeai vers le rempart. Nos yeux se sont croisés. Elle m’a souri et m’a dit de venir la rejoindre. Je vivais dans un autre monde, je ne croyais pas ce qui m’arrivait, j’en avais les jambes molles, l’estomac noué. J’ai alors traversé la clôture et c’est une fois devant Julie que je pris conscience de ce qui m’arrivait. — Tu veux m’en étendre ? me dit-elle, en me tendant le flacon de crème. Je lui ai alors balbutié une réponse qui devait vouloir dire oui. Constatant mon désarroi, elle me dit : — Relaxe-toi un peu, tu es tout tendu. Tu seras bien mieux ici que dans ta tanière pour profiter du spectacle. Son sourire et son regard m’ensorcelaient, mais doucement je repris mes esprits et ma confiance. Elle s’était étendue sur le ventre et je commençai à lui enduire le dos de crème. Elle ne disait mot et je poursuivis l’exploration manuelle de son corps. Son dos, ses bras, sa nuque, ses cuisses, ses mollets. Puis sans m’avertir, elle se retourna. J’avais devant moi ses deux magnifiques seins. Je bandais déjà et, malgré mon trouble, je me remis au travail. Je frottais ses jambes de tout leur long, puis son ventre et ses épaules. Je n’avais pas osé toucher sa poitrine. Elle prit alors mes deux mains et les posa sur ses seins. — Allez, tu ne veux pas les laisser brûler tout de même ! Je me mis alors à malaxer ses seins. Absorbé par ce que je faisais, je lui ai alors pincé les mamelons. Elle lâcha un petit cri de ...
... douleur puis me fit un sourire. — Continue, tu es un vrai pro. Je la massai ainsi de longues minutes, puis je me décidai à l’embrasser. Je me suis allongé sur elle et nos langues se sont entremêlées. Mes mains parcouraient son corps, ma queue voulait exploser. Elle le comprit et en un temps record je me retrouvai nu comme un ver, bandé comme un âne, et je frottais mon sexe partout sur elle. Mes mains avaient fait le tour de son corps et se sont glissées sous son slip. En atteignant la fine ligne de poils, je me sentis pris d’un frisson. J’approchais de l’éden. Je devais me retenir pour ne pas éjaculer tellement l’envie était forte. Mes doigts atteignirent son clitoris et s’immiscèrent dans son antre. Elle était toute mouillée et brûlante. Elle mit sa main sur la mienne pour y appliquer le rythme qu’elle souhaitait. Elle se servait de ma main comme d’un gode. Julie se dandinait de partout, son corps semblait envoûté. Puis, de ma main libre, j’ai descendu sa culotte le long de ses jambes. J’ai écarté ses cuisses et je me suis projeté la tête entre ses jambes. Son odeur était forte, mais chaude et épicée, et elle goûtait tellement bon ! Ma langue dans sa chatte, j’écartais ses lèvres au maximum pour pouvoir la pénétrer le plus profondément possible. Julie en gémissait de bonheur. — Je n’en peux plus, viens en moi, me dit-elle. Sans attendre, je me faufilai en elle sans difficulté. Je la baisai de toutes mes forces. Mes couilles cognaient contre ses fesses. Je la retenais par les ...