1. Pourquoi la gêne ?


    Datte: 04/12/2017, Catégories: fh, voisins, vacances, piscine, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral

    ... culotte. Toutefois, je voyais mal à cause des planches et, excité par sa vue, je me suis décidé à forcer une des planches pour améliorer mon champ de vision. En tirant dessus, j’ai évidemment fait du bruit et elle a relevé la tête, mais elle s’est tout de suite replongée dans sa lecture. J’ai eu chaud et je me suis remis à la tâche en tentant de faire moins de bruit. Après quelques minutes d’acharnement, j’ai réussi à faire bouger la planche suffisamment pour me permettre de me reculer de la clôture et de m’asseoir sur une grosse roche pour observer ma voisine. J’étais assez près pour bien distinguer ses mouvements et certains détails, mais pas assez pour savoir ce qu’elle lisait. J’ai bientôt compris qu’elle devait lire des récits plutôt chauds puisque, tout en lisant, elle avait glissé une main entre ses cuisses. Elle était étendue sur la chaise, les genoux relevés, et elle se caressait la cuisse de la main droite. Ses doigts longeaient sa cuisse et sa jupe se retroussait, suivant son mouvement. Je pouvais maintenant parfaitement distinguer sa culotte qui était en satin blanc. Tout en poursuivant sa lecture, elle écarta davantage les jambes et sa main frottait maintenant sa chatte par-dessus le tissu. Les mouvements étaient au départ doux et empreints de sensualité. Puis son bassin s’est mis à suivre le rythme. Elle fit ensuite glisser sa main sous sa culotte. L’image à elle seule était suffisante pour me faire jouir. En la regardant, je ne pus m’empêcher de faire sortir ...
    ... mon sexe de mon pantalon pour me branler. Elle allait maintenant plus vite, son livre était retombé sur le côté de sa chaise. Elle se massait les seins par-dessus son chandail tout en pétrissant sa chatte sous sa culotte. Je pouvais l’entendre gémir. Au comble de l’excitation, je ne fus pas long à me répandre dans l’herbe. Elle mit quelques secondes de plus à se paralyser dans un orgasme qui semblait des plus libérateurs. Je venais, je le croyais, de vivre une expérience qui allait meubler mes rêves pendant quelque temps. Après avoir récupéré de son moment d’intimité, Julie se releva et replaça sa jupe. Elle regarda alors dans ma direction et fit ce qui me semblait être un clin d’oeil. Je n’y croyais pas, je devais avoir mal vu. Puis elle rentra chez elle. Le lendemain, toujours fortement excité par mon expérience de la veille, je repris ma place. Cette fois, je dus attendre son arrivée pendant quelques minutes. Elle portait cette fois un peignoir noir et n’avait pas de livre, mais une bouteille de crème solaire. La journée était chaude et ensoleillée. En arrivant près de la piscine, elle retira son peignoir : elle ne portait qu’un string, rien pour cacher sa poitrine. Mon sexe fit un bon dans mon short. Je n’en demandais pas tant. Et, là, surprise ! Elle lança : — Sors de là, je suis seule ! À qui pouvait-elle parler ? Elle s’approcha de la clôture, regarda dans ma direction et me répéta de sortir de mon trou. Le coeur voulait me sortir de la poitrine. J’étais découvert. Que ...