1. Liberty


    Datte: 03/07/2017, Catégories: fh, couple, Collègues / Travail vacances, sf,

    Résumé des épisodes 2 et 3 : J’invitai Karina à se joindre à moi pour le reste de la soirée, afin de fêter ce retour inespéré en veine par de folles ripailles et des libations débridées, comme on célébrerait le retour d’un printemps trop tardif après un hiver long et rigoureux. La miss se fit tout d’abord prier, puis, devant tant d’insistance, elle s’inclina finalement de bonne grâce, son visage de madone illuminé par un sourire complice. Je m’enivrais avant tout des instants passés avec Karina, moments de pur bonheur qui me propulsaient à des années lumières des remugles sordides de la semaine calamiteuse que je venais de vivre. Je l’entraînai dans le plus grand restaurant de la ville, et malgré ses protestations faussement offusquées, je la haranguai jusqu’à ce qu’elle me promette de goûter à tous les plats lui faisant envie. Très vite, elle partagea ma bonne humeur retrouvée, laissant s’envoler le voile gris des instants de doute et de peine. Nous riions toujours comme des adolescents en goguette quand je la fis entrer dans ma garçonnière. Il était assez tard ; Karina avait tout d’abord fait mine de repousser ma proposition avant de condescendre à se glisser quelques instants chez moi, avec la moue amusée de celle à qui on ne la fait pas. Sans que cela ne soit le moins du monde réfléchi, nous nous trouvâmes face à face et un peu essoufflés dans l’entrée de mon appartement, illuminé par le clair de lune. Son expression mutine s’effaça pour laisser place à une soudaine ...
    ... gravité ; elle m’enlaça, hissant ses lèvres pulpeuses à la rencontre des miennes. Je lui rendis son baiser, avec une passion peut-être plus ardente qu’il ne l’aurait fallu. Cela ne sembla pas déranger la douce Karina, bien au contraire. Mes mains sur son corps se firent alors plus pressantes, plus précises aussi… Je la guidai vers mon lit, que nous atteignîmes sans même briser notre étreinte passionnée. Elle était là, devant moi, n’attendant qu’un geste de ma part pour se livrer ; j’étais en plein rêve ! J’immisçais mes doigts sous chacune des bretelles de sa robe légère, que je fis glisser sur ses épaules. Karina, haletante, avait fermé les yeux ; ses lèvres entrouvertes appelaient d’autres baisers passionnés. Sa robe tomba à ses pieds au moment précis où j’entreprenais de défaire son soutien-gorge de dentelle blanche. Avec mes lèvres, je pointillais un chemin de baisers entre le lobe de son oreille gauche et ses mamelons, tandis qu’elle laissait jouer ses doigts dans mes boucles brunes. La belle souhaitait que je m’enhardisse ; ses mains, pesèrent sur ma nuque, pour mieux plaquer ma tête contre ses seins, dont je tétais successivement les pointes érigées. L’excitation croissante que nous partagions nous enveloppait dans une bulle de luxure. Karina se trémoussait de plus en plus fort sous mes rudes succions de vampire ; elle s’arc-boutait, cherchant avec fébrilité le contact de mon corps. J’entrepris de la délivrer de sa petite culotte, d’un geste aussi léger qu’une caresse. ...
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