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Quand l'épouse devient la maîtresse - 2
Datte: 05/12/2017, Catégories: fhh, cocus, inconnu, hotel, fsoumise, facial, Oral préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe jouet, yeuxbandés, confession,
... maîtresse qui pompe son amant dans l’attente qu’il la baise. L’œuf est un polisson qui m’excite de plus en plus, et son contact avec le plug transmet des vibrations jusque dans mes entrailles. Mes lèvres s’écartent encore un peu plus pour essayer de gober le plus possible la queue qui palpite et dont je sens que la jouissance va venir. J’hésite un instant à la garder en bouche. Je n’aime pas le goût du sperme et ai toujours refusé à mon mari de jouir dans ma gorge. Mais une inconnue, assez salope pour venir rejoindre un inconnu dans une chambre, ne peut pas s’y soustraire. Mieux, elle doit le faire avec envie et faire ce plaisir à son amant. Le jet est puissant ; il frappe le fond de ma gorge et j’ai juste le temps de dévier le second avec ma langue, puis un autre, puis un autre. Mes lèvres serrent le gland afin de ne rien laisser fuiter, comme se doit une bonne pipeuse. Je branle la queue pour en tirer une dernière goutte. Maintenant je sens que déjà la raideur diminue. Je laisse partir le chapeau du champignon qui abandonne un terreau fertilisé. Il ne me reste plus qu’à… Je redresse la tête et la crème d’homme glisse sur ma langue qui la guide naturellement. Une déglutition et c’est fait. Pour la première fois j’ai pompé à fond et bu la liqueur que je craignais écœurante. Mais non. Ce n’est pas goûteux, mais la joie du service accompli la rend précieuse. Des mains puissantes s’emparent de moi pour me faire allonger. Julien écarte mes cuisses pour y plonger son visage. Sa ...
... langue s’active sur mon clito et l’œuf vibre, vibre. Il suffit de quelques succions pour que je jouisse, mais mon amant ne s’arrête pas pour autant. Je sens qu’il s’empare de mes mollets, écartant à outrance mes cuisses et glisse son sexe déjà revigoré dans ma chatte après en avoir extirpé l’œuf. Quelle vigueur ! Il me baise avec force. La queue que je viens de traire est en pleine forme. La charge est brutale, délicieuse. Mon vagin floque de tant de plaisir et le plug est poussé à chaque choc de son ventre sur mes fesses. — C’est bon, hein ? dit la voix de l’homme à mon oreille. Tu sens comme mon ami est vigoureux ? Je sursaute. — Ne bouge pas. Il va te faire jouir encore et encore.— Mais…— J’ai pensé que pour une femme si audacieuse et libertine, deux hommes étaient nécessaires. Tu n’aimes pas ? L’ami me bourre et c’est bon. Mon con est plein de sa queue. Le plug bouge aussi à chaque avancée. La queue doit creuser son sillon à chaque fois, le plug occupant aussitôt la place libérée. — C’est bon ! Encore ! dit la salope que je suis devenue. Mon baiseur est possédé par une force surnaturelle. Il se démène si fort qu’il me fait avancer sur le lit. — Tu vas le boire. Tu aimes le jus de queue, hein ?— Oui, je le veux. Oh, il me baise bien. C’est bon… Encore, encore ! Mon baiseur ne parle pas, mais il grogne et gémit. Je jouis à nouveau et mon orgasme ne semble pas vouloir s’arrêter. Mais la queue m’est retirée. Alors que le lit bouge, j’entends une capote claquer comme si on ...