Quand l'épouse devient la maîtresse - 2
Datte: 05/12/2017,
Catégories:
fhh,
cocus,
inconnu,
hotel,
fsoumise,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
jouet,
yeuxbandés,
confession,
... l’arrachait, et la seconde suivante un dard se frotte à mon menton, et juste au moment où il atteint mes lèvres, le sperme jaillit en coulées épaisses. J’ai honte.« Marc, cher mari excuse-moi de t’avoir privé de ce plaisir, mais j’aime ce que ma langue reçoit ; ces filets gras et onctueux que je peux tirer pour les goûter. » Pour un peu, j’aimerais qu’il ne fasse pas si noir et que je puisse voir ce que je déguste. « Marc, mon cher mari, tu aurais dû insister et ne pas accepter mon refus de te boire. Peut-être que je ne serais pas là, dans cette chambre, avec deux hommes qui jutent dans ma gorge. » Le silence et le noir. Si je ne sentais pas ces deux corps à côté de moi, je penserais rêver. Pourtant il me suffit de tendre les mains pour sentir la peau de mes amants. Le ventre de Julien est presque plat, celui de son ami plus bombé. Je joue de ce contact et ils frémissent. En descendant un peu, le duvet laisse la place à une peau lisse pour Julien, un duvet soyeux pour son ami. Enfin j’atteins mon but. Chacun de mes doigts pianote sur le sexe mou. C’est fou ce que le noir développe le toucher. Il faut dire aussi qu’une épouse fidèle n’a pas souvent l’occasion de tenir dans ses mains deux bites et de pouvoir les comparer. Toutes deux réagissent à mes caresses et les tiges se tendent sur le pubis. Ce n’est pas mon mari qui banderait aussi vite après avoir craché son jus. Je peux compter en mois la dernière fois où il est revenu à la charge une deuxième fois. Et encore, c’était ...
... en vacances. Le soleil, la plage et certaines touristes bien dénudées l’avaient inspiré. « Deux fois de suite. Deux hommes sous la main. Si mes calculs sont bons, 2 x 2 = 4. » Serais-je assez salope pour rester encore un peu ? Sans avoir de montre, je peux imaginer que la séance de cinéma alibi n’est pas terminée. Une idée folle. Une occasion à saisir. C’est promis : après, je redeviens l’épouse fidèle. Mes amants doivent sentir que je bouge. Je commence par l’ami et y découvre une queue déjà raide, encore goûteuse du foutre qu’il m’a donné tout à l’heure. Pendant que je le pompe de mon mieux – il est plus petit que Julien et cela m’est plus facile de l’engloutir – je branle celle de mon voisin. Puis j’alterne. Les deux hommes se rapprochent et je peux maintenant passer d’une bite à une autre, les comparer, les goûter, découvrant combien, indépendamment de la taille, deux sexes d’homme peuvent être différents. — Des capotes ! j’ose demander, voulant continuer mon idée. Ils me laissent les recouvrir avec. Elles sentent la framboise. Je me damnerais pour une assiette de framboises sauvages. Coïncidence. C’est sur Julien que je viens m’installer. Sa queue entre en terrain conquis. Ma mouille doit couler sur le mandrin. Je m’astique un moment, juste pour le fun. J’avais presque oublié le plug qui bouge ! Que c’est bon ! J’attends que l’ami vienne. Il ne peut qu’avoir compris, même si nous évoluons dans le noir. Je sens ses mains qui me caressent les fesses, jouent avec le disque ...