Quand l'épouse devient la maîtresse - 2
Datte: 05/12/2017,
Catégories:
fhh,
cocus,
inconnu,
hotel,
fsoumise,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
jouet,
yeuxbandés,
confession,
... couple. » — Mais… je n’ai pas reçu ton SMS à temps. J’étais déjà dans l’autre chambre. Pardon, oh pardon, mon chéri… Marc semble touché par mes arguments ; mais avec une voix sévère, il annonce : — Mais si tu étais dans l’autre chambre, qui m’a répondu que tu n’étais pas à la maison ? Qui a pu inventer ce mensonge que tu étais au cinéma avec une amie ? Non, c’est la preuve que tu savais pertinemment que ce n’était pas moi, mais Julien que tu allais trouver dans la chambre d’à côté. Au moins, avoue et reconnais que tu savais parfaitement que tu allais cocufier ton mari. En plus avec un collègue. Je suis prise au piège. — C’est vrai, mais…— Il n’y a pas de « mais » : tu m’as trompé en toute connaissance de cause. J’espère au moins que tu as eu du plaisir avec tout ce qu’il t’avait préparé. Étrangement, cet aveu me soulage. Il a raison : je l’ai fait en toute connaissance de cause. En plus, il a raison : j’ai eu beaucoup de plaisir ; et si c’était à refaire, je le referais. Après tout, c’est de sa faute. Le mail, ce n’est pas moi qui l’ai inventé. Les circonstances ont fait le reste. Et puis, si notre vie sexuelle avait été plus riche, je n’aurais pas cherché inconsciemment cette aventure. Je suis coupable, mais lui aussi. Pourquoi seulement moi ? Pourquoi toujours la femme ? Une sorte de colère me prend, des flots de reproches se précipitent à mes lèvres : — D’abord, c’est de ta faute. Si tu t’occupais mieux de moi, cela ne se serait pas produit. Tu ne me vois plus. Je ne ...
... suis plus qu’une potiche. Et notre vie sexuelle, on pourrait en parler, hein ! Un désert. Tu ne me désires plus, tu… tu… J’essaie de me calmer avant de dire des paroles que je regretterais. Étrangement, Marc ne réagit pas. Plus exactement, il me regarde, une sorte de sourire aux lèvres. Comme je reste silencieuse, il parle : — Si je comprends bien, tu ne regrettes pas cette aventure ? À quoi bon nier ? Autant lui dire mes quatre vérités. — Non.— Tu as aimé la mise en scène, les objets, les attitudes, la soumission ?— Oui. Tout, pour sortir de notre quotidien.— Si je comprends bien, tu as aimé que deux hommes s’occupent de toi, que des sexes inconnus te possèdent, qu’ils jouissent dans ta gorge, qu’ils te prennent en sandwich ? Que les mots sont cruels, mais Marc a raison, c’est ce que j’ai fait. Si je réponds « oui », je le perds certainement pour toujours. Il va me considérer comme une salope. Que sa femme est une putain. Mais à quoi bon mentir ? Son collègue lui a manifestement conté en détail la semaine dernière et ses projets pour cette nuit. — Oui. J’attends la sentence qui ne va pas manquer d’arriver. La froideur et le calme de mon mari vont se transformer en colère et vindictes. — Je suis d’accord. Je n’ai pas dû bien entendre. — Quoi ?— Je dis que je suis d’accord et que tu as raison. Je ne comprends pas. Qu’est-il en train de me dire ? — Notre sexualité est au point mort. Moi aussi je l’ai constaté. Moi aussi j’ai voulu la changer, mais je ne savais pas comment faire. ...