Quand l'épouse devient la maîtresse - 2
Datte: 05/12/2017,
Catégories:
fhh,
cocus,
inconnu,
hotel,
fsoumise,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
jouet,
yeuxbandés,
confession,
... Catastrophe ! Ma montre, une fois de retour dans la chambre éclairée, m’affiche mon insouciance. Que va penser Marc ? J’espère qu’il s’est endormi devant la télé ou, mieux, dans notre lit. Le temps de passer le manteau, mettre dans ses poches mon collant et les accessoires que Julien m’a donné en souvenir et je cours dans la rue pour rentrer chez moi. J’ouvre la porte discrètement. Je ne veux pas prendre le risque que Marc m’entende. Mais dès la porte fermée, alors que l’appartement est plongé dans le noir, la lumière jaillit. Et avec la lumière, Marc apparaît juste à quelques pas. — Ainsi c’est toi. C’est bien ce que je craignais. Je vais protester, me défendre. — Ne dis rien, j’ai tout compris. En plus, regarde comme tu es habillée… Il s’approche de moi ; je suis paralysée. Il défait les boutons. Bien sûr, j’apparais nue ; je n’ai même pas remis le collant. — Et cela… dit-il en plongeant sa main dans la poche du manteau et en extrayant mon collant et – suprême honte – le plug et l’œuf. Faut-il être idiote pour penser en ce moment dramatique que l’homme ne m’a pas donné la télécommande ! — Je sais tout. Bien sûr, j’ai lu le mail de Julien ; mais en plus il m’a raconté tout ce qu’il avait prévu pour cette soirée. Le manteau, les objets, et le reste, tout le reste. Le complice qu’il avait invité et son intention de… « Mon Dieu, il sait tout, tout. C’est comme s’il avait été présent. Tromper son mari et qu’il en connaisse tous les détails, les plus intimes, les plus crus… » — ...
... Julien, s’il te plaît… Je vais t’expliquer.— Oh, mais je suis tout ouïe. Je suis impatient de connaître ton excuse ! dit-il avec une ironie qui fait mal.— D’abord, la semaine dernière je pensais que c’était toi. Après tout, ce message provenait de ta messagerie et j’y suis allée pour TE confondre. Et… de renoncement en renoncement, j’ai pris la place de celle que je croyais TA maîtresse.— Je veux bien t’accorder le bénéfice du doute, mais j’ai du mal à comprendre comment tu as pu me confondre avec Julien.— Mais j’ai entendu ta voix. Enfin, j’étais tellement persuadée que c’est ta voix que j’ai entendue.— La voix, peut-être, mais le reste…— Mais dans le noir, je ne me suis aperçue de rien ; en plus, j’étais attachée.— Mais enfin, Agnès, comment peux-tu me faire croire que deux hommes te font l’amour et que cela ne t’étonne pas. Je me serais dédoublé ?— Comment ? Mais de quoi tu parles… Il n’y avait que toi, enfin je veux dire Julien. Personne d’autre.— Ce n’est pas ce que m’a raconté ton amant. Ils étaient deux. En un flash, des souvenirs me reviennent, et c’est vrai que la vigueur de l’homme m’avait étonnée. Mais Marc reprend : — Et ce soir ? Là, tu n’a pas d’excuse. Vas-y, je t’écoute.— Mais ce soir aussi je pensais que c’était toi. Je n’ai pas cru un instant ta fable sur ton collègue. Je pensais que tu faisais diversion.— Et lorsque je t’ai prévenue que je rentrais à la maison ? « Merde, je suis coincée. Il faut à tout prix que j’arrive à le convaincre si je veux sauver mon ...