1. Les récits de Sandie - N° 7.


    Datte: 06/12/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... peine faire le tour avec mes lèvres, je sentais les veines noueuses et le gland circoncis à chaque fois qu’elle entrait mais je voulais satisfaire Jean-Paul en le faisant juter entre mes lèvres. Mais ce n’était pas cela qu’il voulait ! Il s’est dégagé de ma bouche, a contourné le chevalet et a dégonflé le gode qui était dans mon cul avant de le sortir : - Bien ! Pas mal pour une première dilatation ! Jean Paul a saisi mes fesses entre ses mains, les pressant douloureusement entre ses doigts puissants et d’un seul coup il s’est introduit dans mon boyau étroit. Il a commencé à m’enculer à longs traits, sortant à chaque fois de mon boyau pour y entrer à nouveau en puissance : - Tu vois chienne ! je t’encule si bien que ton anneau n’as le temps de se refermer ! Il continuait de malaxer avec violence mes fesses ou il me serrait la taille entre ses mains puissantes. Ce n’est pas tant la sodomie qui me faisait mal, bien au contraire, je commençais à y prendre goût. Mais ce sont ses mains qui me faisaient souffrir, réveillant au passage la douleur lancinante des coups de fouets. Je ne sais pas combien de temps Jean-Paul m’a besognée de la sorte, j’avais perdu la notion du temps mais au moins deux fois, j’avais refoulé ou tu la jouissance qui me prenait quand enfin il s’est décidé à laisser éclater son plaisir. J’ai senti sa bite se gonfler dans mon sphincter au moment où il déversait son sperme dans la capote. Quand il s’est dégagé, il est revenu devant moi et il m’a obligé à lui ...
    ... nettoyer la queue avec ma bouche. Je me suis appliquée du mieux que j’ai pu si bien qu’il m’a gratifié d’un sonore : Bon cul, bonne bouche ! On fera quelque chose de toi ! Bien Maître. Comme vous le souhaitez. J’étais totalement soumise à ses fantaisies et caprices sexuels et à sa violence contenue. Mais j’étais morte de fatigue. Il a du s’en rendre compte car il m’a ordonné de me rhabiller en me tendant une sorte de culotte en latex avec une grosse protubérance à l’intérieur... qui, quand je l’ai enfilée, est venue se loger dans mon anus pour le maintenir ouvert. Nous avons repris la route de Toulon où nous sommes arrivés rapidement. Dès que la porte de mon appartement a été ouverte, il m’a propulsée à l’intérieur d’une brutale poussée dans le dos : Entre chienne ! Je vais te baiser maintenant ! Tu veux faire la pute ? Et bien je vais te prendre dans ton lit conjugal pour t’apprendre ! Oui Maître ! Je suis votre pute, votre chienne ! Il m’a pratiquement arraché mes vêtements et dès que nous avons été dans ma chambre, il s’est déshabillé entièrement. Là, je pouvais le voir distinctement : Jean-Paul avait un véritable corps d’athlète, les membres déliés et des muscles bien marqués. Ses abdominaux ressemblaient à des tablettes de chocolat et sa bite était toujours dressée, prête à me baiser à nouveau. Il avait déjà giclé trois fois depuis qu’il m’avait conduit dans la chambre de soumission. Il a fait glisser la culotte en latex, libérant du même coup mon cul de la présence ...
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