1. Rêve d'amour


    Datte: 06/12/2017, Catégories: hh, voisins, campagne, train, revede, Oral hdanus, hsodo, fantastiqu, inithh, Gay

    ... souviens pas d’avoir connu mieux, peut-être même pas d’avoir connu aussi bien, et ça, rien qu’à tirer un coup, vite fait, à la hussarde. Alors, quand on s’applique, qu’est-ce que ça doit être ! Je veux le découvrir, il faudrait être fou pour ne pas le vouloir !— Je vais te montrer, dit simplement Adrien. Il s’agenouilla devant le fauteuil de Jérôme, s’installa entre ses jambes, et glissa les mains sous sa chemise. Le contact de ses hanches chaudes et douces l’électrisa et un frisson le parcourut. Il déboutonna lentement la chemise, en écarta les pans, et découvrit avec ravissement un torse musclé, couleur de miel, paré d’une toison soyeuse et frisée, des tétons larges, bien dessinés, presque noirs. Adrien ne put s’empêcher d’y enfouir son visage. Ses lèvres s’y promenèrent sans hâte, découvrirent le nombril et s’y attardèrent. Sa langue y plongea avec délices et se mit à tourbillonner lentement. Jérôme tressaillit et gémit, presque inaudible. Il ne bougeait pas, et Adrien eut l’impression qu’il avait envie de se laisser faire. Sans cesser d’embrasser le ventre de Jérôme, il chercha la ceinture, la déboucla, et ouvrit la braguette, découvrant un joli caleçon blanc orné de petits chats rouges. Adrien s’y plongea et y trouva la preuve indéniable que ses caresses ne déplaisaient pas. À travers le tissu, il embrassa et mordilla cette preuve, puis, redressant le torse, s’absorba dans l’ouverture des deux minuscules boutons. Il glissa la main dans l’ouverture ; un long frémissement ...
    ... saisit Jérôme. Adrien caressa longuement le bel objet si doux, et le libéra enfin de sa prison. Il rebondit comme s’il était en caoutchouc, et se dressa fièrement vers le plafond. Adrien, qui, tout en le connaissant, ne l’avait encore jamais touché, le contempla un moment, admira son élégance, la forme spirituelle du gland et sa jolie couleur mauve violacé. Puis il sortit les testicules, bien ronds, fermes et lourds. Il se félicita de ce qu’ils ne fussent pas épilés : Adrien aimait les hommes poilus et ne comprenait pas que les plus beaux garçons du monde se privent ainsi, volontairement, d’un de leurs plus charmants appas. Jérôme, au moins, était un homme, un vrai, pas un de ces minets insipides et aseptisés. Une par une, il embrassa les petites boules, les aspira, les cajola de la langue, puis monta doucement le long de la hampe frémissante pour s’attaquer au gland. Brusquement, il prit le glaive dans sa bouche, et l’enfourna aussi loin qu’il put. Jérôme frissonna et poussa un cri. La bouche d’Adrien se mit à effectuer sur le membre des allées et venues tandis que sa langue s’enroulait autour de sa pointe sensible, la titillait, la choyait de mille façons. Jérôme n’était plus qu’un gémissement. Il prit la tête d’Adrien et lui imprima son rythme. Les coups de l’énorme engin, de plus en plus rapprochés, de plus en plus violents, lui dilataient la gorge. Il en ressentait des haut-le-cœur et avait peur de vomir, pourtant il était heureux, et n’aurait pas donné sa place pour un ...
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