1. Quand l'épouse remplace la maîtresse - 1


    Datte: 07/12/2017, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, attache, baillon, yeuxbandés, init, exercice,

    Mon mari est un salaud et un con. Salaud, parce qu’il me trompe. Con, parce qu’il ne sait même pas rester discret. J’ai toujours eu une confiance totale. La plupart de mes amies disent que je suis crédule, mais c’est comme cela. Bon, d’accord, c’est vrai que depuis quelque temps le sexe n’est plus aussi chaud qu’avant, mais tout de même, je ne mérite pas d’être crucifiée de cette façon. J’étais prête à certaines avancées, je les espérais même, pour réveiller son ardeur ; mais c’est à une autre qu’il s’est consacré. Il est 20 h en cette soirée d’hiver et Marc me téléphone pour me prévenir qu’un imprévu va le retarder. Cela arrive souvent : il a de grosses responsabilités et je suis habituée. Mais un bip insistant attire mon attention alors que je prévois un plateau-repas et une émission débile de téléréalité. C’est sa messagerie. Son ordi, dans le bureau, ne cesse d’essayer d’attirer l’attention. Je regarde, plus par sécurité que curiosité et découvre : Suit l’adresse et le texte. C’est le texte qui me fait bondir : Vous voyez que c’est un con : il n’a même pas pensé à vérifier que son mail arrivait bien, et surtout il a oublié que sa messagerie est synchronisée sur tous les appareils. « Mais que peut bien lui faire cette pétasse pour qu’il soit si fébrile et inconscient… Pas dérangé par sa femme ? Connard ! » En plus, l’hôtel est à deux pâtés de la maison. Quelle indélicatesse, encore qu’il y a pire… Au moins il va faire chou-blanc et se branler en attendant sa maîtresse qui ...
    ... n’a pas reçu le message. Bien fait. Et je vais lui remonter les bretelles lorsqu’il va rentrer, la queue entre les jambes. « Et si j’allais le surprendre là-bas ? Et si… » Une idée inconvenante me vient.« Et si j’allais là-bas, faire comme il demande et au moment propice lui mettre le nez dans son caca ? Au moins il ne pourra pas nier. » Dix minutes plus tard, le portier me donne la clé. La chambre 33 est quelconque. Au moins il ne dépense pas son argent dans des palaces. Par contre, tout un équipement de « pute » attend sur le lit : soutien-gorge fendu, string où les ficelles pèsent plus lourd que le tissu, porte-jarretelles, bas résille, et même des pinces que j’imagine pour les seins. Décidemment, il achète à sa maîtresse ce que j’ai refusé de porter il y a quelque temps. Je le regrette maintenant ; j’ai fait la bêtise de lui refuser ces babioles qui, manifestement, comptaient pour lui. « Qu’est ce que je fais ? Je frappe à la porte et surgis comme une furie ? Je rentre chez moi, salie par ce que j’ai vu et que j’ai refusé, sans me rendre compte que cela comptait pour sa libido ? Et si… » J’essaie les dessous ; ils sont à ma taille. Au moins, la maîtresse n’est pas une fille anorexique ou une grosse dondon. Le miroir me renvoie une image pas si moche, presque sexy. Des coups. Quelqu’un frappe à la porte de séparation. Merde. Le pire, c’est que je me sens coupable, fautive d’être ici à la place d’une autre ; pire : dans ses dessous. Pour une femme, la lingerie c’est perso. ...
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