Quand l'épouse remplace la maîtresse - 1
Datte: 07/12/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
hotel,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
attache,
baillon,
yeuxbandés,
init,
exercice,
... D’une certaine façon, j’ai violé l’intimité d’une autre ; et même si c’est une salope, je suis impardonnable. — Coucou ! Tu es là, ma cocotte ? Ton canard attend. Éteins la lumière. Je n’ai que le temps d’éteindre. La porte s’ouvre. Elle s’ouvre sur le noir le plus total. Je n’avais pas remarqué, mais dans la 33 – comme dans la chambre d’à côté – volets et rideaux sont tirés et ajoutent la noirceur totale à cette soirée d’hiver déjà bien sombre. — Viens, avance, je t’attends… dit la voix de mon salaud de mari. Alors j’ai la plus folle des pensées. De celles que toutes les femmes trompées se posent :« Qu’est-ce que ces maîtresses ont de plus que nous ; et surtout, qu’est ce que nos maris font avec elles ? Sont-ils plus innovants ? Sont-ils plus attentifs ? Sont-ils plus résistants ? » C’est le moment de savoir. Manifestement, le jeu des amants est d’utiliser le noir pour exacerber leur désir ; alors je vais en profiter et me faire passer pour la maîtresse. Il sera bien temps de crier au scandale lorsque je le déciderai. J’avance à tâtons. Dès la porte franchie, des mains puissantes se saisissent de moi. Je sens un corps nu, mon mari qui se plaque dans mon dos. — Laisse-toi faire, tu ne vas pas le regretter. Au même moment, je sens quelque chose se plaquer contre ma bouche, forcer mes lèvres et se tendre sur ma nuque. — Comme cela, tu pourras hurler ton plaisir sans déranger les voisins. Cela fait une drôle d’impression d’avoir cette boule entre les lèvres, qui me force à ...
... garder la bouche ouverte. Je sens déjà de la salive s’échapper. Heureusement qu’il fait noir. Mais « le canard » continue. — Je vais te mettre un masque. Tu avais aimé la dernière fois, hein ?— Mummm. Que ce soit oui ou non, de toute façon la réponse à ce genre de question, alors que vous avez la bouche entravée, n’est pas audible, ni surtout reconnaissable. Marc ne peut donc pas me reconnaître. Il s’exécute, et dans la foulée je sens qu’il tire mes bras dans le dos pour les immobiliser avec des menottes. — Voilà, tu es ma prisonnière. La petite cocotte est prisonnière de son petit canard. Mon salaud de mari bande. Petit canard à grosse bite : cherchez l’erreur. Je sens sa queue contre mes fesses alors qu’il me parle. Un instant, il m’abandonne. Une musique envahit la pièce. Je n’ose bouger. Il revient derrière moi. Son sexe est plus gros : le salaud est excité par son jeu et cette maîtresse entravée. Maintenant il ne parle plus. Je n’entends que le bruit de sa respiration alors que ses mains explorent mon corps. Il me paraît plus fort, plus rugueux, moins policé qu’à la maison. Une première différence. Il m’embrasse dans le cou alors qu’il palpe mes seins, tirant sur mes boutons qui sortent des fentes de ce soutien-gorge de pute, entrouvre le tissu du string pour glisser des doigts dans ma fente et la raie de mes fesses. « Le salaud, il m’excite… Est-il plus efficace que lorsqu’il est avec moi, ou sont-ce les circonstances particulières ? » Toujours est-il que je mouille de son ...