1. Quand l'épouse remplace la maîtresse - 1


    Datte: 07/12/2017, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, attache, baillon, yeuxbandés, init, exercice,

    ... approche. Sa queue. Oui, sa queue paraît plus dure, plus longue, plus grosse que d’habitude. L’enfoiré bande plus fort avec elle qu’avec moi. Bien souvent, je n’ai droit qu’à un asticot qu’il me faut réveiller de la main ou des lèvres si je veux vraiment sentir un bâton dans ma grotte ou mon cul. Mon cul, c’est vrai, excite encore mon mari. Il devient plus dur si je lui accorde ce chemin. Mais alors qu’avant il me caressait le clito ou jouait avec un gode vibrant dans ma chatte tout en m’enculant, maintenant c’est service minimum. Une bite dans le cul ne suffit pas à faire le bonheur d’une femme. Messieurs, il faut le savoir. En tout cas, pas pour moi. Il joue avec les élastiques du porte-jarretelles, fantasme masculin, mais qui me trouble un peu plus. Bon, assez joué. Bien que cela soit très agréable physiquement, je ne peux oublier qu’il croit baiser sa maîtresse et pas sa femme. Je vais l’arrêter.« Pas tout de suite. Attendons de voir pour le confondre en pleine action. » Justement il me pousse en avant. Je bute contre une table. Il me penche pour que je m’incline. Je me retrouve jambes écartées, la tête en appui sur la table. Non : un coussin que ce salaud de mari fournit à sa maîtresse pour qu’elle soit confortable. Voilà une attention que je ne connais plus. Il est vrai que je n’ai jamais été dans cette situation, aveuglée, bâillonnée, attachée et la tête sur le bois d’un bureau. Waouh… La bouche qui s’est glissée sous moi est une bouche gourmande, qui utilise tous ses ...
    ... appendices pour me sucer la chatte. Il y a longtemps qu’on ne m’a pas honorée de cette façon. « Salaud, pourquoi tu ne me fais plus cela ? Moi, j’en profiterais pour te sucer, en 69, bien profond, et je ne rechignerais pas alors à recevoir ton jus dans ma gorge, comme avant, comme au temps où tu étais inventif, entreprenant et que chaque jour apportait sa part de nouveautés et de jouissances. Je ne te l’ai jamais dit, mais j’aimais lorsque tu éjaculais dans ma bouche. C’est le seul sperme que je n’ai jamais avalé, et je l’aimais. Pourquoi as-tu cessé ces petits jeux entre nous ? Pourtant, tu sais encore le faire. Il te suffit d’une maîtresse pour retrouver ces réflexes qui m’enchantaient et qui enchantent la femme, la maîtresse que tu crois sucer et lutiner de tes lèvres épaisses. » Salaud ! Il n’y a rien de pire que de comprendre que son mari s’est lassé et que ses moyens sont intacts avec une autre.« Rappelle-moi de te le dire tout à l’heure, lorsque tu auras terminé. Car je sais maintenant que je vais te laisser aller au bout de tes turpitudes. Au moins je vais profiter de cet instant que je croyais perdu à jamais : celui de jouir de ta bouche et de tes lèvres. » Les grognements que je pousse sont anonymes, filtrés par cette boule dans ma bouche, mais au moins je n’ai pas peur de me dévoiler. Tu comprends qu’elle a joui : ta maîtresse coule. Ta femme anonyme joue au coucou dans le nid d’une autre. Tu te relèves. Je sens ta queue bien droite, le gland frotter à ma chatte, ...
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