1. Quand l'épouse remplace la maîtresse - 1


    Datte: 07/12/2017, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, attache, baillon, yeuxbandés, init, exercice,

    ... qu’on ne veut pas. L’esprit dit non. Le corps dit oui. « Salaud de mari, tu encules ta maîtresse avec une fougue que je ne connais plus. Et c’est bon. Délicieux même, si on peut imaginer que le mot « délicieux » s’applique à une telle intrusion. Tu es puissant, gros, viril, et ton mandrin paraît un bâton magique que j’aurais tant aimé que tu me réserves. Je jouis, encore et encore, sous tes coups de boutoir dignes des bûcherons canadiens. La tronçonneuse n’est rien à côté de ta verge qui me force et me remplit le cul, conduit maintenant dilaté, excité et impatient de recevoir ton jus. Et ce jus, que tu me refuses – enfin que, par sécurité, tu refuses à ta maîtresse alors que moi, ta femme, j’aurais tant aimé le recevoir au plus profond de mon ventre… C’est si bon de se sentir prise avec envie. Ta semence, tu la déverses encore sur mes reins dans des giclées de foutre qui viennent s’ajouter aux autres. Quel gâchis, mais quelle soirée ! » Doucement, tu reviens vers moi. Tu me libères. Me souhaite bon retour, et je ne peux que grogner un « oui » lorsque tu me demandes si j’ai aimé. Maintenant je suis libre de crier ma colère. Crier, mais aussi c’est se faire connaître. Plus tard… Je rentre chez moi. Je me couche. Une heure plus tard tu me rejoins. Je fais semblant de dormir.« On verra demain. » — Tu es rentré bien tard, hier… dis-je au petit déjeuner alors que je n’arrive pas à me résoudre à te parler. « Te parler maintenant, c’est avouer que j’ai pris la place de ta maîtresse. ...
    ... Que je n’ai rien dit et que je t’ai laissé me prendre. Maintenant je suis coincée. On verra plus tard. » — Oui c’est vrai, répond le mari. Ces temps-ci, nous sommes sur les dents. Il est d’ailleurs probable que, la semaine prochaine, je sois obligé de refaire encore une soirée brainstorming. Je suis désolé, chérie.— Ce n’est pas grave, je dis alors que je bouillonne de colère. « Je me suis mise dans un foutu guêpier : il va bien se rendre compte que sa maîtresse n’est pas venue au rendez-vous. Alors, la question à dix cents qu’il va se poser, c’est : « Mais qui est la femme de l’autre soir ? » Merde. Merde. » Marc, le mari, jubile. Son plan a fonctionné à merveille, même mieux que prévu. Dans le bus, bien calé au fond, il peut revoir sa soirée sur son notebook. Sa femme qui découvre la lingerie sur le lit. Sa femme qui s’en revêt et qui se regarde dans la glace. Il bande rien qu’à ce spectacle. La suite est encore mieux. Après qu’il lui a mis le bâillon, la cagoule, attaché les bras dans le dos, il a allumé la lumière et filmé sa femme, devenue une inconnue, se laisser caresser par ce gars qu’il a trouvé sur un site de candaulisme. Il s’est très bien débrouillé et l’a fait jouir plusieurs fois. Puis le gars l’a filmé en train de l’enculer, la cerise sur le gâteau. Lui aussi a ajouté son sperme à celui de l’amant, formant de charmantes rigoles que le film montre bien. Un rêve. Un rêve enfin réalisé. Cela faisait très longtemps qu’il en avait envie, mais n’osait pas en parler. ...
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