Plaisir et douleur : les deux faces d'une même pièce - Histoires de Sexe

Plaisir et douleur : les deux faces d'une même pièce

... instinctivement contracta son ventre. Le contact était à la limite du chatouille mais ce n’était pas déplaisant. Elle glissa sa main sous ses bourses et caressa le périnée. — Ici ? dit-elle en appuyant légèrement.— Haa… oui. Vous y êtes exactement.— Très bien. Je vais essayer de mesurer la distance séparant le siège de votre douleur du méat. Ne bougez pas, ce ne sera pas long. Elle se tourna vers une tablette sur laquelle étaient posés quelques instruments dont un mètre ruban qu’elle prit dans sa main. — Le mieux serait que vous ayez un début d’érection. C’est plus simple pour mesurer. Vous pensez cela possible ?— Heu… À la demande ? Là, comme ça ?— Vous voulez que je vous laisse seul un moment ? Marc ne savait comment réagir. Cette jeune femme si charmante voulait tout simplement qu’il se branle en solitaire pour qu’elle puisse faire ses mesures. La situation devenait franchement instable mais Marc parvint à trouver une idée. — Ecoutez. Si vous continuez à me toucher et que je parviens à me détendre, je pense que nous pourrions arriver à quelque chose.— D’accord. Allongez-vous complètement et fermez les yeux, répondit-elle du tac au tac. Il s’exécuta. Une fois allongé, les yeux fermés, il sentit les mains de l’infirmière glisser le long de son membre. La caresse était plus douce que la première fois, les doigts glissaient lentement le long du canal pour arriver jusqu’aux bourses puis remontaient tout aussi lentement. Marc sentait la chaleur de la peau de Sandra au travers ...

... des gants. La sensation était exquise et il sentait que les effets commençaient déjà à se faire sentir. Elle remonta sur son gland et l’entoura du bout des doigts, exerçant une légère pression puis descendit plus lentement encore. Elle sentait sous ses doigts la pression qui augmentait doucement dans ce sexe qui prenait des proportions appréciables. Au bout de quelques instants, elle reprit son acte médical. — Voilà. C’est bien suffisant comme cela. Je vais pouvoir mesurer correctement. Elle pris son mètre et mesura le tout. (NDLR : Pour ceux ou celles qui d’aventure auraient voulu connaître le résultat de la longueur, sachez que Marc n’a rien d’un âne !) — OK. J’ai terminé. Vous pouvez vous rhabiller. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous pouvez utiliser le bip situé en haut de votre lit. Je repasserai plus tard.— C’est déjà fini ?— Oui oui. Ça a été ?— Heu… très très bien oui.— Cela se voit figurez-vous ! lui dit-elle en souriant. Elle ôta ses gants, rangea son matériel puis sortit sans un regard pour Marc, encore nu, le sexe franchement en forme à présent. Il se leva, remis son boxer et son pantalon. Son sexe tendu était comprimé mais il avait hâte d’en finir car même si tout avait été fait dans la douceur la plus totale, Sandra avait conservé un professionnalisme à toute épreuve. Il décida se de plonger dans son livre et d’attendre le temps nécessaire pour qu’il se sente moins « tendu ». Au bout de quelques minutes, il s’aperçut qu’il n’avait pas de bouteille d’eau. ...