Agnès
Datte: 08/12/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
jeunes,
extracon,
vacances,
fsoumise,
vengeance,
contrainte,
Oral
pénétratio,
fsodo,
policier,
... impassible. — Première chose : je ne t’avais jamais trompée. Je suis sorti avec Agathe des mois avant de te connaître. Elle m’avait quittée bien avant que je te rencontre. Je suis, j’étais, fou amoureux de toi et je le suis resté. Elle ne bouge pas un cil. Elle ne me croit pas. — Elle t’a menti lorsque tu as regretté avoir fait l’amour avec le voisin. Elle avait en tête de me reprendre. Elle est touchée. J’en sais plus qu’elle ne le pensait et sa première aventure avec le voisin la met, elle-même, en défaut. — Deuxième chose. C’est une question. Quand as-tu découvert les caméras ? Elle sourit, tristement, mais c’est quand même un sourire… — Le jour même où tu les as installées. Le lendemain du jour où tu m’as surprise avec Franck. J’ai vu ton reflet dans la vitre de la cuisine. J’aurais voulu que tu interviennes. Tu as préféré partir.— Je n’ai pas compris. J’ai agi par réflexe. En flic, je voulais comprendre. Après j’ai voulu respecter ta liberté, je n’imaginais pas te contraindre. Je croyais te laisser vivre, je ne me sentais pas de droits, je ne voyais pas que tu te noyais. Je suis terriblement coupable.— J’ai tellement attendu que tu me sauves. Je pensais que tu t’en foutais au fond. Que tu avais Agathe et les autres. Que tu ne m’aimais plus. Je me sentais partir, ma tête me faisait mal. J’étais comme la spectatrice de ma vie. Je… je revivais des choses que je détestais mais que je savais si bien faire… je crois que je suis restée une putain Joss. Je voulais mourir. J’ai ...
... encore envie de mourir. Elle est si belle et pour moi l’espoir renaît. Je me penche pour l’embrasser, sa bouche m’accueille. Un frisson brutal me parcourt à son contact. Pourtant, il y a une autre chose que je voudrais savoir… — Tu ne lui as jamais dit que j’étais flic… Elle sourit un peu plus franchement. — Je lui ai dit que tu étais gratte-papier au service des cartes grises… Quoique asservie, abusée, déjà vendue, elle avait conservé une petite lueur de résistance, la même qui la faisait agir délibérément sous le regard des caméras ou tromper son amant avec Franck. Je comprends aussi sa solitude et l’aide, peut-être pas volontaire, que le garçon lui a apportée. Un peu de tendresse au moins. Une présence finalement plutôt gentille alors qu’elle se sentait abandonnée et trahie par moi. Ma main glisse sur son corps. Je retrouve les courbes admirables que je connaissais, les pointes des petits seins qui s’érigent, les épaules gracieuses, le creux des reins, la douceur des fesses. Ma main glisse plus loin et rencontre la fente, encore trempée du sperme de Franck. Tant pis, ou tant mieux, je ne sais pas… — Tu veux bien ? Peut-être vaudrait-il mieux parler, s’expliquer longuement… mais j’ai l’intuition que seules des caresses peuvent être vraies, sans ambiguïté, et effacer toutes ces semaines de malheur. — Joss, je n’ai plus d’orgasmes depuis que je n’ai plus les cachets de… je ne sais pas ce que c’était.— Un cocktail de saletés. Je suis désolé, j’avais tant envie de toi. Je retire ...