Banquière perverse (9)
Datte: 08/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
La pendule de la salle de « torture » m’indique que cela fait plus de trois heures que je suis allongé sur cette table, un coup sur le ventre et un coup sur le dos ; cette séance d’épilation à la cire m’a bien échauffé la peau. J’espère qu’elles vont me mettre une pommade de façon à calmer le feu qui m’envahit tout le corps comme l’aurait fait un feu de forêt. J’ai du le rêver si fort que : — Eh les filles ! On lui fait un joli massage pour calmer les échauffements ? propose Gladice. La crème apaisante étalée à six mains est un vrai délice ; je ne veux rien voir mais juste savourer ce moment. Petit à petit, le feu s’éteint et je peux apprécier la délicatesse de ces mains féminines qui passent partout, sur mon dos, mes épaules, le creux de mes reins sans oublier mes fesses -j’adore me faire masser les fesses- et elles terminent leur course sur l’arrière de mes cuisses jusqu’à la plante de mes pieds. C’est maintenant au tour de mon côté face d’apprécier le massage de mon torse à la pointe de mes orteils. Les yeux fermés, j’essaie de deviner à qui appartiennent ces mains qui massent tout mon corps lisse et doux. Sur mon torse, deux mains, peut être celles de Gladice, glissent sur mes pectoraux et jouent avec mes tétons sortis de la forêt vierge qui recouvrait tout mon poitrail. Je suis certain que les petites mains agiles qui appliquent la crème avec délicatesse sur toute la longueur de mon membre et aussi sur mon gland qui n’avait pourtant pas besoin d’être épilé, appartiennent ...
... à Sophie. Malgré tous les efforts que je fais pour éviter l’érection ; mon membre grossit inexorablement. Deux autres me massent les cuisses et ont une agréable tendance à venir se perdre sur mes baloches qu’elles pressent et font rouler entre leurs doigts. Nul besoin de dire que la combinaison de toutes ces belles attentions donne de plus en plus de vigueur à mon engin qui atteint sa taille de compétition ; je suis, comme on dit, monté comme un âne et mon engin impressionne souvent. Je suis quand même un peu gêné de la situation quand la douce voix presque suppliante de Sophie me fait ouvrir les yeux. — Euh… sauf que là, je ne vais jamais tenir le coup, moi ! maugrée Sophie. À voir l’expression de son visage, la pauvre Sophie crève d’envie devant mon phallus qu’elle tient fermement à deux mains. Sans compter toutes les autres qui prennent un malin plaisir à me malaxer les bourses, me triturer le gland et appliquer un mouvement lent et régulier à ma tige qui n’est pas de coton. En gros elles viennent de me donner une terrible érection, j’ai le sexe hyper gonflé ; si gonflé qu’il me fait mal. — Vas-y Sophie, profite… — Mais Gladice, je ne peux pas, pas ici ! — Quoi, ça ne te dirais pas de faire ça devant nous et qu’on s’occupe de toi en même temps ? Essaie, tu vas adorer, je te le promets. — Euh… j’sais pas… j’ai jamais fait ça devant tout le monde… — Tu as tort, si tu n’y vas pas…moi j’y vais, je vais te montrer ; t’es d’accord mon chéri ? — Ah oui …et même toutes les trois, ...