1. Banquière perverse (9)


    Datte: 08/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ouieee… ! OUIiiieee…. ! Je jouieee… ! Je sens son étuis se resserrer sur moi, se contracter et sa cyprine couler. Elle est secouée, dans tous les sens, pleure de bonheur, crie encore de joie et s’écroule sur moi encore secouée par les spasmes du bonheur. Je peux toucher, caresser son dos, ses fesses toutes fines ; qu’elles sont petites ! Je ne suis pas arrivé au bout et c’est tant mieux car j’espère bien me faire les deux autres. — Gladice, viens je vais t’épiler le temps qu’elle récupère, tu n’as pas grand-chose ; ça va aller vite. On vous laisse, et pas de bêtises ! nous-dit Anne en riant. Toujours allongée sur moi Sophie récupère doucement. Elle vient de récupérer et relève la tête, toute ébouriffée, elle m’offre un regard coquin et un joli sourire plein de malice. — Merci, c’était génial… mais elles sont où ? — Parti épiler Gladice. — On fait quoi alors ? — Ce que tu veux, on est bien comme ça, non ? — … Je suis toujours en elle, mais mon grand ami s’endort tranquillement. Alors elle bouge un peu, à gauche, à droite, en haut, en bas, frétille du popotin ; ça y est, mon vit se réveille et elle se dégage. Assise sur mes pieds elle attrape ma bite, l’engloutie dans ma bouche et me pompe ; aspire mord mon gland, le suce, le lèche et me masturbe à deux mains. Elle est efficace car mon grand ami vient de reprendre sa taille de combat ; elle aspire mon gland et l’entre au plus profond de sa gorge. Elle est à la limite de l’étouffement mais elle pompe, bave, suffoque et en pleure ...
    ... aussi. Dans un râle, elle tente de me faire une gorge profonde, mais des haut- le-cœur ont raison d’elle ; ce ne sera pas pour aujourd’hui. — Désolé, j’n’y arrive pas, me dit-elle toute penaude. — C’n’est pas grave, tu n’es pas obligée. — J’aurais tellement aimé te le faire… Alors elle se met à me sucer et à me branler avec force. Hum… que c’est bon ! Ça vient, je sens que ça vient ; je la préviens ? Non, trop tard … Ça part d’un coup, elle recule et reviens, et avale…tout ou presque. — Et alors, comment ça va Sophie ? Elle en a encore plein la bouche, ouvre de grand yeux étonnée et cette fois avale tout. — Mais ! Elle t’a sucé ? Et avec quelle permission ? — Je…Euh…Bah… — Toi alors, on te donne le petit doigt et tu prends la main ! Tu mérite une bonne fessée. La pauvre, elle n’a même pas le temps de dire un mot de plus que Gladice l’arrache de dessus moi et la couche à plat ventre sur ses genoux ; les fesses en l’air, et Pan ! Et, Pan ! Les claques tombes, les fesses rosissent, Sophie crie, bat de pieds, les fesses rougissent et moi je bande comme un turc. Pauvre Sophie, elle a bien des malheurs ! Je me lève de la table pour voler à sa rescousse. Mais par chance, les claques s’arrêtent ; Gladice la saisit par le bras et l’entraine vers moi. Que fait-elle ? Elle la jette quasiment sur moi en disant : — Saute ! lui ordonne Gladice. Elle me saute dans les bras, je l’attrape, elle m’enlace le coup, me serre la ceinture avec ses jambe et glisse doucement sur ma queue qui entre à ...
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