Banquière perverse (9)
Datte: 08/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... si vous voulez ; moi cela ne me dérange pas du tout. — Le contraire eut été étonnant ! Parce que vous les mecs, dès qu’il s’agit de fourrer votre bite dans un trou ; vous êtes toujours partant, pas vrai ? confirme Gladice. — D’accord ! Alors j’y vais, mais tu y vas doucement ; tu es gros pour moi, me dit Sophie. — Je te laisse gérer, ça te vas ? — Cool… Pour moi, c’est la première fois que je fais ça avec une fille aussi petite, avec son air de gamine, j’ai l’impression d’avoir chopé une collégienne. J’avoue que c’est une sensation très étrange mais très excitante. Autant baiser ma grosse banquière m’excitais terriblement que là, je suis au paroxysme de ma libido. Tout en caressant Sophie, Anne ôte avec une extrême sensualité la blouse de son assistante ; dessous elle est toute nue, je m’en doutais. Son petit corps, ses minuscules seins tout pointus, ses fesses creusées sur les côtés et son minou tout lisse ; donnent vraiment l’image d’une ado d’à peine treize ou quatorze ans, limite pubère. Le plaisir est vraiment étrange avec ce sentiment de faire quelque chose d’interdit ; j’avoue que c’est une des plus belles choses que je n’ai jamais vécue de ma vie. Sophie, portée par ses deux comparses se retrouve assise sur mes cuisses, mon phallus bien placé à la verticale attend entre ses jambes. Elle le regarde avec gourmandise, le touche du bout des doigts et l’embouche goulument comme si elle voulait l’engloutir en entier. Mon gland est inondé de salive, alors, elle se soulève ...
... sur ses genoux et se place juste au dessus de mon dard. Gladice a déjà saisi mon engin et le dirige vers l’entrée du vagin dégoulinant de désir de la petite Sophie. Elle se pose dessus, force doucement ; elle est serrée, mais j’entre doucement en elle. Pour l’encourager, Anne lui masse le dos, le ventre, les fesses ; Gladice a pris sa bouche et l’entraine dans une galoche qui, dans son esprit, restera marqué à jamais. Une main s’insinue entre mes cuisses et le cul de Sophie les doigts bougent ; à ce que je sens, Sophie subit aussi un doigté rectal. Elle se cambre, souffle, gémit et s’enfonce encore ; je touche le fond de son antre. Elle monte et redescend, mon mandrin coulisse en elle ; à chaque descente, elle tente d’aller plus loin, plus bas encore. Ses doigts se crispent en formant comme des serres, une main attrape un des seins de Gladice et plante ses ongles dans la peau comme un rapace voulant emporter sa proie. L’autre main lacère le dos de ma chérie, qui maintient prisonnier le sein disponible de Sophie, pire encore le petit téton de la belle ainsi offert se retrouve tordu dans tous les sens par deux doigts vicieux. Sophie crie, souffle, gémit, geint encore, elle se tord comme une anguille. Elle va bientôt arriver à l’orgasme, j’en suis persuadé, alors je place mes mains sous ses fesses et la soulève. À grand coups de reins, je la pilonne ; il faut que j’aille vite, très vite et elle crie son bonheur : — Ah, ouii… ! oui, oui, oui oui ouiiii….Oh putain que s’est bon ! Ah ...