1. Banquière perverse (9)


    Datte: 08/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... genre, mauvais carnet de notes, fessée avec en sans culotte et aussi inceste père/fille, mère/fille ou les trois. Et vous allez cartonner. — C’est cool, ça, moi je prends ! s’exclame Sophie. — Et comment fait-on pour trouver ce genre de plan ? — Pour les plans, je m’en charge et il y a aussi votre patronne, elle connait du monde, vous pigez ? Et vous savez, le gens friqués croient pouvoir tout se payer alors offrez leur ce qu’ils veulent et vous, vous compterez les billets. C’est aussi simple que ça ! — C’est vrai tu as raison, Issam, tu ne connais pas encore tout de ce qu’il s’y passe, mais je t’assure qu’il y a des jours où c’est vraiment chaud chez la patronne. Dit-Gladice — Bien, mais au niveau légalité, ça se passe comment, car je ne tiens pas à être expulsé pour une histoire de proxénétisme ! — Il n’y a pas de soucis, Issam, vous donnez des spectacles, de cul certes ; vous vous inscrivez comme intermittent du spectacle et le tour est joué. Je suis certaine que votre banquière de patronne vous aidera, termine Anne. — Avec deux où trois coups de queue, je pense qu’elle sera d’accord de nous aider et peut-être qu’elle nous trouvera du taff, dit Gladice. — Bon, on y réfléchit et on s’appelle. Issam ! On va y aller. — Gladice, Issam ! un de ces quatre ; on se fait un truc, une bouffe, chez moi ? — D’accord, on apportera le dessert… ? — Ou vous tout simplement… — Eh ! Ho ! Vous n’allez pas faire ménage à trois ? dit Anne. — Pourquoi pas ! L’air malicieux de Sophie en dit ...
    ... long. — Je vois…on s’appelle, allez ciao ! conclut Gladice. Le contact avec l’air extérieur est surprenant, malgré mon short et mon teeshirt j’ai le sentiment d’être tout nu. Mes poils laissés sur le sol du salon me manquent un peu, j’ai une sensation de froid mais je vais m’habituer à ce nouvel état. En chemin vers le métro : — Alors, mon chéri, comment te sens-tu ? Elles se sont super les deux et Sophie ; tu aimes. — Franchement, elles sont adorables ; honnêtement, si je l’avais rencontrée avant, je pense que j’aurais dragué Sophie. — Pour son cul ? — Oui et Non ! Pour tout, elle, ce qu’elle dégage, sont caractère si pétillant et le reste que je ne connais pas. — En gros j’ai du bol de t’avoir trouvé avant ! — On va dire ça comme ça…au fait, c’est quoi cette nouvelle lubie de m’appeler Heubi ? — C’est nouveau, je me suis dit que cela pourrait être une sorte de code. wgiwddh — J’n’y comprends rien à ton histoire ! — Mais si ! Viens avec moi. Elle me prend par la main et m’entraine vers les toilettes du métro, elle ouvre une porte ; — Ça pu là dedans ! On fait quoi, maintenant ? — Heubi ! Branle-toi ! Allez, branle toi ; je te dis ! — Et ? — Et là tu te branles, bon vas-y ! — Okééé… ! — Allez…Heubi t’attends quoi ? J’ai soif…j’ai faim… ! Elle me donne un terrible envie, je sors ma bite, je bande, je me branle. Elle s’agenouille devant moi, ouvre grand la bouche et me dit : — Donne-moi ta semence ! En peu de temps je lui sers une belle rasade de liqueur d’homme qu’elle avale avec ...
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