L'énigme Koliza (2)
Datte: 09/12/2017,
Catégories:
Hétéro
Au début de notre promenade, Koliza m’annonce qu’elle a un rendez-vous pour du travail la semaine suivante. Elle a eu l’entretien par l’intermédiaire d’une amie de sa cousine après qu’elle ait envoyé le CV que nous avions établi ensemble. Je suis très heureux pour elle. Nous marchons près d’une heure avant de nous désaltérer à une fontaine. Koliza faire remarquer en riant que je fais du bruit en buvant. Je lui lance de l’eau. Elle riposte, hilare. C’est la première fois que je la vois rire aux éclats. Nous nous dirigeons vers un banc et nous y reposons. Je lui dis : — Tu es heureuse ? — Oui. Il me semble que ma vie s’arrange. Tu m’avais appris une expression… heu… la roue… heu… — La roue tourne ! — Voilà. Ma vie va mieux. Enhardie, elle se lève : — Ma fille a d’excellentes évaluations à l’école, j’ai un rendez-vous pour du travail et je m’intègre bien plus à la vie sociale depuis que tu m’as aidée à faire ces grands progrès en français. Quoi de plus ? Alors, Koliza fait un double tour sur elle même, comme une toupie, oubliant un instant qu’elle porte une jupe évasée et que celle-ci suit son mouvement en se soulevant allègrement. Quand elle y repense, il est trop tard. J’ai tout vu. Enfin, ce qui était visible. Car le string noir qu’elle porte est très fin et si j’ai nettement aperçu le triangle noir sur le devant, la ficelle entre ses fesses est demeurée invisible. Koliza met vivement la main sur la jupe et rougit instantanément : — Oh ! Je suis désolée ! Je suis abasourdi. ...
... Je ne réponds pas. Toujours écarlate, elle ajoute : — J’espère que tu n’as rien vu… Comment aurais-je pu ne pas voir ? Elle était juste devant moi. Je hoche la tête, lui faisant comprendre que j’ai tout vu. — C’est très gênant, je suis vraiment désolée, je ne voulais pas. Elle s’assied à nouveau à côté de moi. Mon cœur ralentit et je retrouve mon calme. Je souris. — J’ai tout vu, oui. Et c’était très excitant. Koliza éclate de rire. Elle prend cela pour une blague alors que je suis tout à fait sérieux : — Ce que j’ai dit n’était pas vraiment drôle. — Oh si ! Je sais que tu me fais marcher. Un homme comme toi, tu ne pourrais pas. — Je ne pourrais pas quoi ? — Être excité par ce que tu as vu. J’ai vu plusieurs fois ton ex-femme à l’école et… — Et ? — Grande, blonde, mince, super belle… — Et ? — Et toi. Tu es beau, sportif, intelligent, tu… Je ne la laisse pas finir et l’embrasse. Elle me repousse violemment et se lève. Ses yeux ont viré au noir. Elle s’essuie la bouche. — Tu es dégueulasse. — Pourquoi ? — Tu joues avec moi ! Pourquoi tu fais ça ? — Mais… Koliza, je ne comprends rien ! Tu… Mince, j’étais sérieux tout à l’heure ! Koliza se prend la tête entre les mains puis s’en va par un petit chemin à travers un bois. — Attends ! Je me lève d’un bond et pars à sa suite. Elle s’est arrêtée. Quand je pose ma main sur son épaule, elle se tourne et m’enlace avant de m’embrasser. Un baiser long et passionnée. Nos langues roulent encore et encore. Les yeux de Koliza reprennent ensuite ...