1. L'énigme Koliza (2)


    Datte: 09/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... n’hésite pas. Elle écarte son string et dirige mon sexe tendu dans sa vulve trempée. Les préservatifs achetés le matin sont oubliés dans la fureur du désir. Je regarde mon bas ventre disparaitre entre les cuisses de Koliza avant de me laisser submerger par l’érotisme torride des déhanchés de ma partenaire. Lascive, incroyablement sensuelle, Koliza m’enivre de ses ondulations charnelles. Son orgasme est profond, puissant. Quelques secondes plus tard, elle se lève et nous allons dans la chambre. L’entrée dans la chambre s’apparente à un passage de l’autre côté du miroir. La Koliza qui se retourne face à moi ne semble pas être la même que dans la salle de bains. S’agenouillant une nouvelle fois, Koliza me suce cette fois de manière lubrique et obscène, soutenant mon regard d’un bout à l’autre de sa caresse. Se redressant en ôtant son string, Koliza s’allonge ensuite sur le lit, les jambes largement écartées. Caressant impudiquement son sexe tondu, elle passe sa langue sur ses lèvres, vicieuse et dévergondée. Je la pénètre virilement. L’expression de défi de son visage conforte mon choix énergique. Koliza est double et cette part de sa personnalité aime être prise ainsi. — Përsëri ! Përsëri ! Fortë ! Mes notions d’albanais me permettent d’être plus ferme encore. Me redressant entre ses jambes, j’attrape son top à deux mains et le déchire dans le sens de la longueur. — Montre-moi tes gros seins ! D’un geste rapide et précis, Koliza fait tomber les bretelles de son soutien-gorge ...
    ... et dévoile sa volumineuse poitrine. Une mamelle dans chaque main, je la pelote avec véhémence tout en maintenant un rythme puissant à mes coups de rein. Soudain, je me retire et monte sur Koliza pour glisser ma bite entre ses seins. Un mouvement qui semble la ravir si j’en crois le sourire radieux qui illumine son visage alors qu’elle presse mon sexe entre ses nichons. Je passe ensuite à côté d’elle. Pas besoin de mots. Koliza se tourne et se met à quatre pattes. S’agissait-il là d’un fantasme refoulé ? Au moment où je la pénètre à nouveau, je suis parcouru, durant quelques secondes, de spasmes incontrôlables. Koliza ne se rend compte de rien. Je pose les mains tremblantes sur ses hanches et commence à m’activer. Avais-je seulement rêvé un jour de prendre en levrette un cul d’une telle taille, des cuisses si épaisses, des hanches aussi larges ? Jamais que je m’en souvienne. Cependant, à ce moment là, chacun de mes coups de rein est un pas dans le Jardin d’Éden. Ce cul qui vibre, frémit et ondule, les cris d’extase de Koliza, il me semble vivre la scène au ralenti, dans un état de béatitude absolu. Malgré la violence des mes allers-retours, je parviens à l’orgasme après une lente et irrémédiable montée au plaisir. Comme si j’avais senti la moindre progression du plaisir en moi. Ma jouissance est phénoménale et d’une longueur rarement atteinte. Je m’affale sur le lit, hagard, à bout de souffle. Je ne respire pas, j’halète. La sueur colle à mon corps, des gouttelettes coulent le ...