1. L'énigme Koliza (2)


    Datte: 09/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... leur belle couleur verte tandis qu’elle essuie ses larmes. Nouveau baiser. Koliza caresse mes fesses et sourit. Je lui dis : — J’ai tout vu et c’était très excitant. Tu es très excitante, Koliza. Son sourire est merveilleux et rempli de fierté. — Je… Je ne peux pas croire que je te plais. — J’ai fantasmé sur tes leggings avant de te connaitre. Elle éclate de rire puis me fait un clin d’œil. — Ce matin, j’ai pensé que cette jupe te plairait, je l’ai mise pour toi. Mais j’en mets tellement rarement que j’ai oublié que j’en portais une aujourd’hui. — Pour mon plus grand plaisir. Je l’embrasse en soulevant sa jupe et caresse ses fesses. Elle frissonne et sourit : — Je ne peux pas croire ce qui arrive et pourtant… Koliza me met la main au paquet, qui a bien durci avec le baiser. Je souris. Elle ajoute : — Pourtant, c’est réel ! Nous rions. Koliza crie soudain : — Les enfants ! Je regarde ma montre. Dix minutes. Nous sortons en courant du petit chemin et parcourons quelques dizaines de mètres avant que Koliza ne s’arrête. — Je ne peux pas. Vas-y toi. Je vous rejoins. rzwrnnyu Je cours tranquillement jusqu’à l’école. Il reste deux minutes avant que la cloche sonne. Je récupère les deux enfants. La fille de Koliza est un peu hésitante, mais comme je lui dis que nous attendons sa maman, elle accepte de rester. Koliza arrive dix minutes plus tard en marchant d’un bon pas. Nous partons en direction de nos logements respectifs avec un peu de retard et le repas est un peu expédié, car ...
    ... les enfants reprennent exceptionnellement les cours une heure plus tôt. Mon fils et moi arrivons juste à l’heure et une centaine de mètres derrière nous, j’aperçois Koliza et sa fille qui courent. La petite ne s’arrête pas. Koliza est en nage : — Pfff… Je n’ai pas couru autant qu’aujourd’hui depuis 7 ou 8 ans. Je ris. Nous repartons ensemble, tranquillement. Jusqu’à chez elle. Nous nous embrassons dans l’ascenseur sans échanger un mot. Puis dès que Koliza referme la porte de chez elle. Nos langues sont indissociables, roulant l’une dans l’autre, l’une sur l’autre. Nos mains se baladent, glissent sous les vêtements. Essoufflée, Koliza dit : — Il faut que j’aille à la douche avant. — Je suis dans le même état que toi. — Viens avec moi. Elle me prend par la main et m’entraine dans la salle d’eau. Nous reprenons nos baisers. Koliza retire mon t-shirt et embrasse mon torse avec envie. Je la laisse s’agenouiller devant moi alors qu’elle vient déboutonner mon bermuda. Et je me félicite ne pas l’avoir arrêtée. Car lorsque mon sexe entre dans sa bouche, c’est tout mon être qui pénètre dans une nouvelle dimension. Celle d’une déesse de la fellation, d’une enchanteresse de la pipe. Intense, tantôt profonde, parfois vive, toujours variée, la flamboyante fellation de Koliza incendie mon corps jusqu’aux tréfonds de mon âme. J’en suis sonné, hébété, étourdi. Je m’agenouille devant elle, l’embrasse avec une fougue virile. Je l’attire à moi en me couchant en travers de la petite pièce. Koliza ...